Liberté de penser

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LIBERTARE de con (à traduire du latin)

Conscience et inconscience humaine. Penser n’est rien d’autre que tenter d’extraire le meilleur des tiroirs de notre bibliothèque de brouillard matériel cervical et pouvoir constater que ce qui sort de ces microprocesseurs neuronials humains est parfois à reproduire.

Lorsque le corps agit ou réagit, certains tiroirs s’ouvrent d’eux même (principe de survie, stimuli, réaction). Il en va de même pour les végétaux, qui semblenet se nourrir de rien, hormis de la puissance du soleil.

Lorsque le cerveau est dans la lune, est très nuageux, ou orageux même, c’est comme si de micro-arcs électriques tels la foudre viennent frapper au hasard, ouvrant quelques tiroirs. Mais vous ne saurez si ces derniers ont été ouverts que par le biais de la pensée, que lorsque leur contenu atteindront votre conscience.

 

Inconsciemment, on retire la main du feu

Consciemment, on ne mets pas la main au feu

et avec les mots, on sentimentalise, on vibre, on explique, on évolue

et on ouvre parfois des tiroirs poussiéreux, embrumés, ou cadenassés

L’auteur dans un siècle passé se serait-il reconnu ?!

La vie, c’est aussi penser, être heureux, être vrai, être en santé.

Pour écrire un livre, il faut une pleine liberté de penser.

Pour écrire un livre scientifique, il faut également des données, scientifiques, mathémathiques, comiques.

Tenter d’apporter une contribution à la compréhension des phénomènes qui nous animent et animent l’environnement comme la matière vivante, non vivante ou artificielle qu’elle contient sera l’objectif des présents chapitres cet ouvrage de vulgarisation.

Aussi, avant de se plonger dans cette science et ses matières à penser qui apparaissent comme une forme privilégiée de la connaissance, faut-il encore définir quelles limites donner au ratio de cette liberté de penser, …

Enfin, écrire, c’est lire, et lire, c’est avoir su écrire, avoir appris à lire, et écrire.

« Tant que la lecture est pour nous l’initiatrice dont les  clefs magiques  nous ouvrent au  fond de nous-mêmes la  porte  des demeures  où nous  n’aurions pas  su pénétrer, son rôle dans  notre vie semble salutaire.

 

LIBERTARE – facultés – définitions

L’homme a le droit naturel d’employer ses facultés comme il l’entend.

La liberté d’opinion consiste en la liberté de pensée associée à la liberté d’expression : elle permet à chacun de penser et d’exprimer ses pensées sans censure préalable, mais non sans sanctions, si cette liberté porte préjudice à quelqu’un.

La liberté économique permet à chacun de percevoir des revenus de son travail et de pouvoir affecter ces derniers librement

Du côté de l’âme humaine, j’approcherai bien plus une religion philosophico-scientifique (la religion peut alors tout naturellement être comprise comme une manière de vivre et une recherche de réponses aux questions les plus profondes de l’humanité, en ce sens qu’elle se rapporte à la philosophie, ou à la grandeur de toute les sciences de l’univers), comme un Dieu soleil pour les Incas.

Aussi, alors que les grandes religions s’affrontent toujours, il est de bon temps de rappeler le terme déisme, du latin deus (dieu) qui est une croyance ou une doctrine qui affirme l’existence d’un Dieu (une force) son influence dans l’univers, tant dans la création que dans le fonctionnement de ce dernier. Pour la pensée déiste, certaines caractéristiques de Dieu peuvent être comprises par les facultés intellectuelles de l’homme. La relation de l’homme avec Dieu est directe (notamment par une simple prière spontanée ou la réflexion). Le déisme prône ainsi avant tout une « religion naturelle » qui se vit par l’expérience individuelle et qui ne repose pas sur une tradition écrite.

 

Bref, VIVE la liberté de penser. Libertare pensum e la caravanapasassa.

Et c’est alors qu’avec le temps, du courage et de la persévérance, j’espère pour toutes et tous que le Bien triomphera toujours, car nous voulons tous, en majorité, vivre dans le Bien et le Bon. CQFD