Rire et santé

Avoir la santé, c’est se payer le luxe de pouvoir tomber malade et d’en guérir.

Alors riiez 

DANGERS CHAOS ?

 

 

Un réchauffement par les aérosols induit des étés torrides ?

Un voile blan refroidit-il la terre ?

Une catastophe ou guerre NUCLEAIRE ou volcanique induirait un hiver nucléaire

Une terre sans fertilité induit des SAISONS sans nourriture, ni oiseau

Une terre SAINE produit une ALIMENTATION SAINE pour tous

 

Juste retour de flammes, des effets indirects de composants polluants, asphyxiants ou mutagènes et provenant de soi-disantes « avancées », mais avant tout réalités technologiques, quelles soient génétiques, génomiques, médicales,  scientifiques, ou militaires. Passant par l’oubli, l’ignominie, la bêtise humaine, une tornade, un typhon ou un tremblement de terre,  nous ne sommes toujours pas à l’abri d’une crise qui risque d’être toujours d’être considérée comme sans précédent.

Sans vouloir dramatiser, plutôt que penser comment vivre demain sans plus aucune électricité, ni téléphonie, ni connexion internet, pour faire face aux différentes crises probables, le système D doit pouvoir être mieux être développé. Pour ce faire, il convient d’abord de comprendre quels risques et quels chaos nous encourrerions, éventuellement, …

Le plus grand risque reste l’appauvrissement de la diversité des ressources naturelles !

SI il n’a plus d’insectes pollonisateurs,

il n’y a plus de graines, naturellement !

Parmi les grands dangers que nous côtoyons, on peut toutes les résumer ainsi

Risque de DEDGRADATION ou de MORT ECOSYSTEMIQUE induite par un déséquibre du système fonctionnel – Phénomène croissant de disparition des espèces par le simple fait d’un appauvrissement de la diversité des milieux et des ressources, ou de la modification du milieu par adjonction d’intrants (monocultures et pratique agricole, pollutions industrielles, cataclysmes et catastrophes naturelles, toxiques voir certaines ondes EM (radioactivité ou ondes micro-ondes, par exemple).

Parmi les grands risques, nous retrouvons

1. les risques de catastrophe naturelles

A. Les risques d’éruptions volcaniques (nuages, cendres, feu)

B. Les risques sismiques, liés à l’intensité

C. Les risque de catastrophe liés à des chutes d’objects provenant de l’espace.

D. Les risques de maladies

E. Les risques climatiques, qui entrainent avec eu un risque de modification de la biomasse (agriculture, etc…) et vents solaires (UV, températures, ondes et particules).

2. Les risques de catastrophe induites par l’homme

L’homme n’a cessé de vouloir se déplacer, importer, exporter, standardiser. Par ce biais, nous avons distordu l’équilibre qui s’était naturellement établi sur terre depuis des milliers, des millions, des milliards d’années si nous remontons aux premiers organismes.

– En cultivant à outrance, en introduisant monoculture, pesticides, biocides, insecticides > Affaiblissement ou suppression de l’équilibre naturel

– De l’exportations d’un côté à l’autre de la terre, au déplacements multiple des populations d’un côté à l’autre de la terre, l’homme à bien souvent « MELANGE » la nature. C’est aisni que des maladies, des organismes pathogènes, des insectes, …. peuvent se retrouver la ou il ne se serient pas développés autrement.

– En voulant maitriser une énergie nuclaire, ou dissuader son voisin d’une guerre nuclaire, il a aujourd’hui de quoi militairement, détruire plusieues centaines de terres. Il a aussi créé un risque d’accident qu’il tend à limiter, mais qui existent. Tchernobyl. Three Miles Island, Sellafiled, … en sont des tristes exemples. Le taux de particules alpha et Beta présent dans l’air, se retrouve donc aisni en augmentation continue et chronique.

– En consommant toujours davantage, il à ajouté des particules souvent bien polluantes dans l’atmsophère. Contrairement du fait que tout se disperse, à contrario, notre atmosphère est un volume qui peu à peu se charge en micro – particules et aérosols. HAP, insecticides, champignons, résidus de traitement, poussières de sol pollués, tout se retrouve dans l’air selon les aléas climatiques. De quoi induire des maladies émergentes, respiratoires, neuro-muculaires, ou autres, et le nombre de nuage de pollution en ciriculation autour du globe sont en augmentation.

– En pillant les ressources boisées, au nom de voies de communications ou de futures zones à batir, il engendre une baisse de la biomasse nécessaire à l’équilibre 02/C02 de l’air

– En ajoutant satellites et techniques dans l’espace, l’homme y a aussi ajouté de nombreux déchets. De quoi induire des modifications peu à peu chronique et compréhensibles sur les hautes couches de l’atmosphères qui filtrent les rayons cosmiques. Chutes également prévisibles

Informations détaillées sujettes aux quelques RISQUES principaux

– CLIMATIQUES ou « catastrophes » NATURELLES

– GEOINGENIERIE et TECHNIQUES DE MODIFICATIONS DU CLIMAT

– Effets directs et indirects des TECHNOLOGIE GENETIQUEs

– TECHNOLOGIQUES MILITAIRES

– TECHNOLOGIQUES NUCLAIRES

– TECHNOLOGIQUES ENERGETIQUES ET ONDES EM

– TECHNOLOGIQUES DE CONTROLE

– L’AGRO-ALIMENTAIRE, appauvrissement de la qualité et de la diversité des sources d’aliments.

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RECENTRAGE sur les taux de MORTALITE PLANETAIRE

(les chiffres sont surement à revoir à la hausse, car depuis le temps, la planète est davantge peuplée et il y a maheureusement plus de migrants hors statistiques à ajouter aux statistiques) et que sont les statistiques !!

La mort entraine un peu plus de 158’000 personnes par jour ou 62-65 millions de personnes par an 
Les naissances sont de 353’00 bébés par jour  ou de 128 millions par an 

L’accroisement de population, actuellement de 7 milliards d’êtres humains, est d’environ 200’000 personnes par jour ou  75 millons par an

Le taux de mortalité s’échelonne entre 2 et 30 décès pour 1000 habitants par an selon les régions, ce qui fait une moyenne de 8.4 décès pour mille habitants et par an. (naissances : 18.8 naissances pour mille habitants)

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Sur 57 millions de décès annuels, on compte

par la sous-alimentation selon J.Ziegler, 36 millions de décès/an          58 %             

  

(la sous alimentation cause des maladies, dans lesquelles statistiques elle se retrouve….)
La sous-alimentation n’est ainsi pas répertoriée à sa valeur réelle
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– Maladie cardiovasculaires, 18-20 millions de décès par/an, 30 % 

  • Maladie infectieuses (et sexuelles 17 millions de décès/an (de 1–43 %), 29% notamment le sida, le paludismeet la rougeole
  • Cancer et radon, 7 millions, 11 % 
  • broncho-pneumopathie chronique obstructive, 4-5 millions – 4ème cause de mortalité,  10%
  • Morts violentes, 4.5 millions de décès/an, 7 %                                                 
  • (homicide, suicide, accidents)  de 3-24% selon situation géographique et conditions)                                                       
  • Diabète et Alzeimer, 2.5 millions de personnes (maladies émergentes), 4 %              
  • Conflits armés 20’000 et 600’000 selon années et guerres, moins de  1%                                    
  • Terrorisme moins de 1%, 6000 morts/an,  moins de  0.1 %                                               
  • Erreurs médicales, 1-2 millions de décès par an, 1.6 %
  • Autres causes, 4-5 millions de décès, 7 %

Et par la au milieu, il y a au milieu, en 2000, les grippes…..

Les Grippes A, B, C hormis H1n1, rendent malade quelque 5-20 millions de personnes par an, soit entre 15’000-60’000 par jour.

Les virus de la grippe tueront habituellement entre 250’000-500’000 personnes par an (500-1500 dècès par jour sur terre en moyenne durant la première décennie des années 2000                              

Les Grippes saisonnières hormis H1n1  engendrent 250 000 à 500 000 décès par an, 0.6 %    

Pandémie 1918, 30-100 millions de décès en 2 ans, env. 40 %                       

Pandémine 1968,  1 millions de mort en 1968, 1.6 %

La grippe H1N1 situation 23-08.2009 

La Grippe AH1N1 arrivée en 2009  à engendré en depuis le 1 mai 2009 et selon les chiffres officiels quelque 2500 décès, soit une moyenne comprise entre 10-30 décès/jour. On est donc bien en deça du taux de mortalité des grippes saisonnières ou de l’ensemble des « grippes »

Etudions la part du taux de mortalité de la grippe  A H1N1                                                                             – ses 4  premiers mois –                 
                                                                             Nb de daces         Nb de maladies        taux décès/malade                   taux mortalité
official (OMS, etc, … mais ne compte plus)                    2457 décès pour  370’000  malades     0.7 % (0.01- 3 %)                0.01 %              

Candel dit   situation 23.08.09                                   2824 décès       1,451,208   malades    0.25 %                              0.015 %           

Extrapolation DR ratio 12 real cases                          15’540 décès       4’440’000  malades    0.35 %                              0.08 % 

A ce jour, avec  une moyenne  de  25 décès jour (entre 20 et 130) confirmés pour A h1n1, nous sommes encore loin du nombre de décès engenders par les grippes saisonnières et autres influenza de type B, C, qui rappelons le engendrent près  500-1500 décès/jour  sur terre.  

On peut donc dire qu’à ce jour entre  2 %  et 20 % des décès dus à la gippe se rapportent au fameux A-H1N1.

Globalement, on est tous parmi celles et ceux qui ont un risque sur 105 de décéder .

Ce risque  de déceder augmentera avec l’âge pour être de 1 sur 1 pour une personne agée en bonne santé et en fin de vie.
(6, 8 milliads d’ètres humains qui decedent à un rythme de 62 millions par an).

Mais l’on est tous aussi par celles et ceux qui ont une chance sur 53  d’assister à  une  naissance proche

Sur ce, vous avez  1  risque sur  20’000 que  la mort soit due à une grippe saisonnière

Et, actuellement  un risque  compris entre 100’000 et 1’000’000 que votre décès soit  induit  par la grippe A H1N1

 

 

Hypothèse d’évolution 
A. 
Admettons que la grippe poursuive son evolution exponential et engender 1 milliards de grippes A-H1N1 avec un taux moyen de 0,5 % de décès. Il y aurait alors 500’000 décès par an estimés, ce qui correspond aux valeurs relevées actuellement pour une grippe saisonnère.  Tout être humain aurait alors 1 risque sur 10’000 que sa mort soit due au virus A-H1n1. Les grippes représenteraient alors 1 .2 % des causes de mortalité, contre 0.6 % à ce jour.

B. Admettons que la grippe eusse touché 30 % de la population mondiale ces deux prochaines années et mute en engendrant un taux de 0.8 % de décès. Il y aurait alors 5-15 millions de morts sur 2-3 ans
Tout être humain aurait alors 1 risque 80  de décéder (contre un risque sur 105 actuellement) et  1 risque sur  env. 800 que sa mort soit induite au virus A-H1n1. La grippe A H1N1 représenterait alors 10 % des causes de mortalité, contre 0.6 %  pour la grippe saisonnière à ce jour.

C. Admettons que la grippe H1N1 eusse touché 40 % de la population mondiale ces deux prochaines années et mute en engendrant un taux de 2.5 % de décès. Il y aurait alors 68 millions de morts en 2-3 ans, env. 30 millions de plus par an. 
Tout être humain aurait alors 1 risque 75  de décéder (contre un risque sur 105 actuellement) et  1 risque sur  env. 300 que sa mort soit induite au virus A-H1n1. La grippe A H1N1 représenterait alors 30 % des causes de mortalité, contre 0.6 %  pour la grippe saisonnière à ce jour.

Hypothèses – Evolution de la grippe  A  H1N1  mai 2009 – mai 2010 (ane année, toutes les saisons)
Considérations

  1. La grippe  saisonnière se traduit généralement par l’arrivée d’un pic saisonnier. On peut aismément suivre le nombre de consulations médicales qui lui sont liées.  (0.1-0.3% des motifs de cosnulations en saison calme,, plus de 5 % des consulations en cas de pics)

  2. L’arrivée de A-H1N1 semble avoir  aumenté d’un facteur  assez important le nombre de consultations médicales lequell se situe dès lors entre  0.5 % et 1.5% en absence de pic saisonnier. On ne sait toutefois pas jusqu’ou il montera en 2009 pour les regions de l’himisphère Nord. L’on peut toutefois étudier  son évolution dans l’hémisphère Sud ou l’hiver, propice à la diffusion grippale, s’est installé.

L’OMS a tablé sur une estimation relativement prudente – de 2 à 7,4 millions de décès – qui constitue une cible utile et plausible pour la planification. Cette estimation est fondée sur la pandémie relativement modérée de 1957. Lors des épidémies annuelles, 5 à 15 % de la population souffrent d’infections des voies respiratoires supérieures 

Alors à ce jour, ….. tant que ce fameux virus A-H1N1 n’a pas tué plus de 500’000 personnes  en 1 an, ce qui représenterai environ 1 % des causes de mortalité, il n’y a pas de raison de s’alamer

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a défini dix facteurs de risques, qui représentent la majorité des causes de décès[3]. Ces facteurs sont :

  1. la sous-alimentation : plus de 3 millions de décès d’enfants dans les pays en voie de développement (1,8 million en Afrique et 1,2 million en Asie), soit 60 % des décès d’enfants, et 170 millions d’enfants ont un poids insuffisant

  2. les pratiques sexuelles dangereuses (c’est-à-dire sans préservatif) : 2,9 millions de morts ; 40 millions de personnes sont infectées par le VIH(sida), essentiellement en raison de pratiques sexuelles dangereuses (99 % des infections en Afrique, 94 % en Amérique centrale et 13 % en Asie orientale)

  3. l’hypertension artérielle : 7 millions de décès par an

  4. le tabagisme : 5 millions de décès par an

  5. l’alcoolisme : 1,8 million de décès par an

  6. l’utilisation d’eau non potable et le défaut d’assainissement et d’hygiène : 1,7 million de morts, essentiellement par des maladies diarrhétiques

  7. la carence en fer : 2 millions de personnes en souffrent, et cela cause 1 million de décès par an

  8. l’enfumage des habitations par des combustibles solides : ces fumées provoquent 36 % des infections des voies respiratoires inférieures, et 22 % des broncho-pneumopathies chroniques obstructives[4]

  9. l’hypercholestérolémie : 4 millions de décès par an

  10. l’obésité : un milliard d’adultes ont un surpoids, dont 300 millions d’obèses.

Une modification du mode de vie permettrait de réduire la mortalité dans les pays développés. Une équipe de chercheurs de l’université de Cambridge(Royaume-Uni), en partenariat avec le Medical Research Council, a mené une enquête sur 20244 individus pendant 14 ans (1993-2007), dont 1987 sont décédés en cours d’enquête, afin de déterminer l’impact du mode de vie sur l’espérance de vie[7]. L’étude conclut que le « mode de vie idéal » majore l’espérance de vie de 14 ans par rapport au cumul de quatre facteurs de risque[8] :

  1. absence de tabac ;

  2. consommation d’alcool égale ou inférieure à un demi-verre par jour ;

  3. consommation de 5 fruits et légumes par jour ;

  4. exercice physique d’une demi-heure par jour.

Le cumul des quatre facteurs de risque multiplie le risque de décès par 4,4, trois facteurs, de 2,5, deux facteurs de près de 2 et un facteur de 1,4. Selon le professeur Kay-Tee Khaw, premier signataire de l’étude, « c’est la première fois que l’on analyse l’effet cumulé des facteurs de risque sur la mortalité[8]

 

GEOINGENIERIE et TECHNIQUES DE MODIFICATIONS DU CLIMAT

 

Introduction

CE QU’EN DIT LE GIEC – Groupe d’expert intergouvernemental sur le climat.

Définitions de la géo-ingénierie: Il s’agit de l’ensemble des techniques visant à stabiliser le système climatique
par une gestion directe de l’équilibre énergétique de la Terre, de façon à remédier à l’effet de serre renforcé. (selon le GIEC)

Géoingéneerie (ou géo-ingénierie) est un mot tabou dont vous n’êtes pas autorisé ou peu enclin à connaître la signification !on ne trouve en effet la définition de ce mot sur aucun dictionnaire ou encyclopédie en ligne, bien qu’il existe plusieurs diplômes ou formations portant ce nom

Géo-ingénierie : Pour ce qui est des possibilités d’atténuation dans les écosystèmes marins et la géo-ingénierieb, la connaissance que possède l’être humain des systèmes biophysiques et de bon nombre de paramètres éthiques, juridiques et d’équité est encore rudimentaire. Obstacles : Dans le domaine de la géo-ingénierie, les risques de conséquences imprévues sont importants et il se peut même qu’il ne soit pas possible de régler la distribution régionale de la tem- pérature et des précipitations. Possibilités : Quelques recherches fondamentales semblent de mise.

 

Mais qu’est -ce que la géoingénierie, en quoi consisite-t-elle

Retrouvant toute une documentation de l’université de Calgary (National Academy of Science. David Keith) on peut résumer la geoingénerie ainsi

La géo-ingénierie désigne les efforts visant à stabiliser le système climatique en gérant directement le bilan énergétique de la Terre, permettant ainsi de surmonter l’effet de serre accru.

 

Les différentes techniques incluent des actions

A. sur le plan du CYCLE DU CARBONE par le bias de technique de captation directe de CO2, d’épandage de Fer ou de micronutrients dans les océans pour stimuler le phytoplancton ou accroitre la réflexion solaire, ajout d’alcalinité aux océans, desacidifcation ou chaulage des sols.

 

B. sur le PLAN du RAYONNEMENT SOLAIRE (gestion du rayonnement) par le biais d’épandage de composés soufrés (2 – 4 millions de TONNES de soufre – S – seraient ainsi nécessaire pour agir sur l’albédo) – alors que les émissions mondiales actuelles du SO2 sont de l’ordre de 80 millions de tonnes par an) ou de composés soufrés dans la stratosphère, d’aérosols (sels, oxydes et oxydes hydratés) dans des nuages bas, une modification de l’albédo des végétaux, ou encore la conception de particules spécifiques à diffuser dans la mésosphère. D’autres technique active sur le rayonnement verraient de gigantesque miroirs disposés en orbite autour de la terre pour renvvoyer les rayons solaires.

Les techniques de modifications du climat incluent également des techniques permettant également d’accroite la couverture nuageuse afin de diminuer la quantité globale de rayons solaire atteignant la terre (ou au contraire de supprimer du brouillard, …)

Composés pour l’ensemencement de nuages : agent glaciogènes, composés de baryum, lithiure d’Argent

Autres composés incriminés: kérosène avec impuretés soufrées, sulfates, acide sulfurique, Al2O3, Li2O, Ba(OH)3, Na2O, MgO, Al2O3, SiO2 and H3PO4, des particules métalliques, des microbilles

On ne peu dès lors que soupçonner également fortement la nanotechnologie ou les techniques de resonance d’ondes EM de tenter de « s’incruster » dans l’atmosphère comme la statosphère, avec un obkectif que l’on donnerait de louable pour ne pas dire loubard !

COMMUNIQUE DE L’AFP – Solution miracle ou dangereux mirage, la géo-ingénierie fait débat
[ 21/02/10 – 16H59 – AFP ] © AFP/Archives – Jewel Samad

Des scientifiques proposent de rendre les nuages plus brillants ou de fertiliser les océans afin de contrecarrer le réchauffement climatique, mais l’idée de jouer avec l’atmosphère inquiète ceux qui soulignent l’immaturité de la géo-ingénierie.

La conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS) à San Diego (Californie), le plus grand rassemblement scientifique du monde, a été l’occasion pour les deux camps d’exposer leurs points de vue.
« L’ingéniérie climatique à grande échelle n’a jamais été éprouvée et peut être dangereuse, mais son potentiel technique existe », résume David Keith, professeur de science de la Terre à l’Université de Calgary au Canada.
Les options étudiées sont multiples mais l’une des principales consisterait à placer des particules de cuivre ou du sulfate dans la haute atmosphère pour créer un écran réfléchissant les rayons du soleil et par conséquent faire baisser la température. Les scientifiques se sont inspirés des nuages d’acide sulfurique des éruptions volcaniques, de puissants déflecteurs solaires.

« Nous devrions éviter (….) de nous précipiter (dans cette voie) et prétendre que nous savons réparer la mécanique atmosphérique », a jugé James Fleming, professeur de science à l’Université du Maine.
Il souligne que la géo-ingénierie n’est pas une panacée contre l’accumulation des gaz à effet de serre mais seulement un moyen d’en minimiser les effets. © AFP/Archives – Parthajit Datta

Et son collègue Martin Bunzl, professeur de climatologie à l’Université Rutgers, met en garde sur la tentation de jouer aux apprentis sorciers en insistant sur les limites des modèles informatiques pour mesurer tous les effets des techniques de géo-ingéniérie. En agissant sur les nuages, les scientifiques risquent de perturber les précipitations comme la mousson en Asie, a-t-il averti. Selon lui, le danger est qu’en perturbant ce phénomène météorologique, la production agricole se retrouve chamboulée, affectant jusqu’à deux milliards de personnes.

Phil Rasch, climatologue au ministère américain de l’Energie, a affirmé qu' »aucun des chercheurs travaillant aujourd’hui dans la géo-ingéniérie ne pense que le temps est venu de mettre en pratique cette nouvelle approche ».
Il a présenté à San Diego une technique, basée sur un modèle informatique, visant à injecter des particules de sel marin dans les nuages pour les rendre plus brillants afin qu’ils réfléchissent davantage les rayons du soleil dans l’espace.
« La plupart des chercheurs croient qu’il y a un intérêt à explorer ce champ d’étude pour comprendre son potentiel et ses risques », a poursuivi Phil Rasch. « Nous en savons beaucoup plus aujourd’hui, nos outils de recherche sont bien meilleurs et nous avons une plus grande expérience du système atmosphérique terrestre », a-t-il fait valoir.

© AFP/Archives – Slim Allagui

Pour Ken Caldeira, de la Carnegie Institution, il est impératif d’investir dans la géo-ingénierie qui pourrait bien être le seul moyen dont disposera l’humanité d’ici plusieurs décennies pour refroidir artificiellement une planète devenue trop chaude. « Le réduction des émissions de CO2 seule ne va pas entraîner de refroidissement de la Terre au cours de ce siècle, peut-être au-delà », a-t-il estimé. « Que va-t-on faire si d’ici 20, 30 ou 40 ans, les températures du globe sont trop élevées pour que les récoltes puissent pousser normalement dans les régions tropicales, menaçant de famine des millions de personnes? », s’est interrogé ce scientifique.

 

RETOOLING THE PLANET, réautomatiser la planete, une traduction des Lucindas des travaux de ETC group.

Un document pertinent sur la question geoingénieureurie.

Reautomatiser_la_planete.pdf (décument en français, 46 pages)