LA TERRE SE TERRE DANS L’UNIVERS

 

Pour bien étudier les sciences de ou sur la terre

parcourons l’univers dans lequel elle baigne

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La terre à un diamètre (à l’équateur) de 12756,28 km, soit près de 13 fois 1000 km

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Sa masse est de 5.974 E 24 kg et sa densité moyenne de 5.515 × eau

Vitesse de libération à l´équateur : 11.2 km par seconde (vitesse minimale pour entrer en orbite autour de la terre)
Sa température varie de 223 K à 323 K (-50 °C à +50 °C)
Son inclinaison de l´équateur sur le plan orbital : 23.45°

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La distance terre – soleil est de 147 millions de kilomètres au mois de janvier.
Elle est de 152 millions de kilomètres au mois de juillet.

La Terre tourne autour du Soleil en une année: c’est la définition de l’année

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La révolution de la Terre autour du Soleil, combinée avec l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre, expliquent l’existence de zones climatiques sur la Terre.

Durant ce mouvement, l’axe de rotation reste parallèle à lui-même. L’axe est légèrement incliné par rapport au plan sur lequel la trajectoire s’effectue : le plan de l’écliptique. L’axe Nord-sud forme par rapport à la verticale du plan un angle de 23° environ. C’est l’obliquité de la Terre. L’obliquité de la Terre varie au fil des années, sur une période de 41000 ans. Ses variations sont assez complexes, mais elles sont stabilisées par la présence de la Lune, le satellite naturel de la Terre.

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La terre tourne ainsi autour du soleil en 365.256 jours (révolution sidérale) en parcourant une distance de 939951138.77 km en une année (2 UA*Pi = 2*149 597 870*Pi)

La terre est aisni propulsée dans l’espace à une vitesse de 107’224 km/heure ou 29.78 km/seconde

Elle tourne sur son axe N/S geographique, sur elle-même, en 23.9345 heures (période de rotation sidérale), ce qui représente pour tout un chacun, la nuit et le jour.

 

La terre tourne sur elle – même : (il s’agit de la vitesse à laquelle tout un chacun est confronté)

– A l’EQUATEUR (latitude 0) à une vitesse de (Pi*diamètre/temps) 1674 km/heure ou 0.465 km/seconde.

– Aux deux tropiques > 23 oC latitude, la vitesse de rotation est d’environ 1500 km/h

– Aux cercles polaires > 66 o latitude, la vitesse de rotation sera alors d’environ 680 km/h

Cette vitesse va donc en décroissant selon la formule : Cosinus longitude * vitesse à l’équateur. Ainsi pour les poles N/S, la vitesse de rotation de la terre sur elle-même quasiment est nulle.

C’est d’ailleurs cette différence de vitesse de rotation modifie la trajectoire des vents qui déplacent l’air d’une latitude à l’autre. Il en est de même pour les courants marins.

La terre tourant dans le même sens sur elle même, du coup, dans l’hemisphère Nord, les vents dévient plutôt sur leur droite et dans l’hemisphère Sud, les vents dévient plutôt sur leur gauche.

L’excentricité de l’orbite terrestre est elle-aussi variable sur de très longues périodes (en centaines de millions d’années), essentiellement par intéraction avec les autres planètes. La valeur actuelle est d’environ 0,0167, mais dans le passé elle a déjà atteint une valeur maximale de 0,07.

Tous les corps et les astres sont soumis au principe d’attraction universelle (gravitation). Il en est de même pour tout objet ou toute matière se retrouvant soumise à l’attraction terrestre. (F= mmG/d2)

 

Quelques calculateur diversément utiles.

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Calculateur de la loi de Keppler, des accelérations et des forces

Calculateurs divers – Gravitation

Calculateur des points de Lagrange

Calculateurs divers (et chimie physique)

+ quelques liens internet divers :

http://www.orbitsimulator.com/formulas/LagrangePointFinder.html

http://www.orbitsimulator.com/formulas /Simulations orbitales. calculs

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TERRE ESPACE et GRAVITE

 

LOI DE GRAVITATION

Force CENTRIPEDE – LA TERRE MATIERE et UNIVERS

CALCULTEUR de la gravité

POIDS et MASSE dans l’univers

 

 

La Loi de la gravité

/F/ = G * m * m’/ r²

 

Loi régulant la force centripède

/Fc/ = mv2/r

AVEC et /F/ = Fc pour tout corps maintenu en orbite

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Règle 1.

Tous les corps matériels de l’Univers s’attirent selon une force qui est proportionnelle à leur masse et inversement proportionnelle au carré de la distance qui les sépare. /F/ = G * m * m’/ r²

Règle 2.

Tout corps se maintient sur un rayon orbital (r) par la force qu’il excerce au travers sa masse (m) et de sa vitesse au carré (v)/Fc/ = mv2/r

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A.

Sur la terre qui pèse 5,9736 E24 kg pour un rayon à l’équateur de 6 378 137 m ou polaire de 6 356 752 m, tout objet rapporté à ce que l’on percoit comme UN kilo sur une balance pèse en réalité le poids de son « attraction terrestre ».

En entrant ces 3 données dans le calculateur ci-dessous ou en appliquant la première équation ci-dessus, on trouve que sur terre, 1 kg vaut 9.801 N (m/s2) à l’équateur et 9.86661 N aux pôles à l’altitude du niveau de la mer.

Un poids de 1000 N sur terre variera donc entre 102.0 et 101.3 kg selon oû il se situe à la surface de la terre, et c’est ainsi que la loi universelle est établie selon le fait que deux masses de 1 kg séparée de 1 mètre de distance s’attirent avec une force de 6,6742E-11 Newtons

c’est le référenciel de G = la constante gravitationnelle = 6,6742×10-11 m3/kg*s2 ou en Nm2/kg2

 

B. La terre et le soleil et la lune

Voyons les masses et distances entre les astres, SOLEIL, TERRE OU LUNE

 

Masse (kg)

diamètre (km)

distance

GRAVITE de surface

1000 N représentent

x kg

donc si nous pesons 1000 N sur terre (+-102kg) nous pesons

Force exercée entre la masse du soleil et ....

Force exercée entre la masse de la terre et ...
Soleil

1,9891E30

1392000

terre - soleil 149 597 870 (entre 147E6 et 152E6)

273 m/s2

3.7 kg

2700 kg sur le soleil

(lui-même: 26E49 N/m)

le soleil: -3.54E 22 N
Terre

5.9736E24

12 756 équateur

12 713 km pôles

idem

9.798-9,864 m/s2

101,377

102,616

101-102 kg sur terre

La terre: 3.54E22N

 
(elle-même 23.8E38 N/m)
 
Lune
7,349E22
3 474 km
terre-lune : 384 400 km
soleil-lune:149 597 870 +-384 400 km+-
1.62 m/s2
615 kg
16.7 kg sur la lune
la lune:
4.35E20 N
la lune:
+ 19.80E19 N
 
Venus
(la plus proche)
4.9 E24
12100
soleil-vénus 108 E6 km
terre venus 41E6 km
vénus
5.5 E22 N
venus
11E17-12.2E17N
 
jupiter
(la plus lourde)
 
1,8986E27
142984
588-980 E6 km jupiter-terre.
778,57 E6 km jupiter-soleil
24m/s2
!! a 63 satellites
4.13E23N
- 7E17 - 21E17 N
 
MARS la première en direction d'ailleurs
6,4185E23
6744-6804 km
soleil-mars:
227936637 km
mars-terre: 55000000-200000000 km
3.69m/s2
 
voir calculateur
ci-dessous
mars:
16.37E20
mars
+ 8.16E16N-6.39E15N
 
 
M31Nébuleuse
Andromède la plus proche des grande galaxies- normale
10E41
10E21
2.5E19km
17E23
17E17
voie lactée
2E36 (masse centre, sagitarius)
1.14E42
1.39E9
5 E11 - 5E12
??
1E21-1E27 proviennent de la galaxie sur le soleil
influence des forces = ?
15.75 E18 N ?
 

 

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CALCULATEUR DES FORCES GRAVITATIONNELLES existante entre 2 objets.

 

Entrez par exemple la masse de la terre, 1 objet de masse de 1 kg, le rayon de la terre, et vous obtiendrez 9,81 N ou m/s2 ou l’accélération terrestre.

 

VOICI un calculateur de la force gravitationnelle  >>>>>>   A VOIR EN FIN DE PAGE: CALCULATEURS
selon la loi F = G (m1 . m2)/d2
Votre Poids sur Terre et à la Surface d’autres Astres

 

http://www.proftnj.com/calcmg.htm

http://www.proftnj.com/calculat.htm

Une Calculatrice pour Astronomes. JavaScript calcule le Jour Julien,
la Déclinaison du Soleil, l’Equation du Temps et la Longueur du Jour.

 

                                                                http://www.proftnj.com/calcastr.htm 

Une Calculatrice pour Astronomes. JavaScript calcule le Jour Julien,
la Déclinaison du Soleil, l’Equation du Temps et la Longueur du Jour.

Lire la suite:http://www.proftnj.com/calcastr.htm#ixzz5dvumvU4d
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Des notions de pesanteur et d’apesanteur

La terre est un référentiel inertiel pseudo-isolé.

La pesanteur est un phénomène qui correspond à un champ attractif auquel sont soumis tous les corps matériels au voisinage de la Terre ou d’un autre astre.

On observe ainsi qu’en un lieu donné, tous les corps libres chutent en direction du sol de la masse qui les attire suivant la même direction verticale, et fonction du champ d’attraction gravitationnel Un objet de masse m dans un lieu où l’accélération de la pesanteur vaut g, apparaît soumis à une force verticale, appelée poids de l’objet : P = mg.

Un poids n’est donc rien d’autre que la perception de la force verticale qui s’exerce par logique de l’application de l’attraction gravitation induite entre les masses.

Il s’agit en fait de d’une perception de l’ensemble de toutes les force verticale induite par les champs gravitatonnels. Mais comme nous sommes sur terre sur une masse gigantesque comparativement à notre poids, les autres forces des autres astres sont très peu significatives, correspondant à moins de 1 % de l’attraction terrestre

Enfin, c’est grâce à l’effet de la force centrifuge exercée par la vitesse de rotation des astres autour du soleil, que la terre et les planètes se maintiennent dans une orbite circulaire, ou un référentiel orbital inertiel. Et il en est de même pour la lune qui tourne autour de la terre.

 

 

dimensions
gravité
surface
N = m/s2
1 kg
Vitesse orbitale
 
vitesse rotation
vitesse de libération (échappe à la gravitation
v>2GM/R
soleil
273.95
le soleil fonce lui à 220 km/seconde. La Voie lactée fonce à son tour vers sa galaxie jumelle Andromède à 90 km/sec. Le Groupe local de galaxies (une dizaines de galaxies dont la Voie lactée et Andromède) fend l'air à quelques 600 km/s* attiré par l'amas de la Vierge. Ils tombent eux-mêmes à 368 km/seconde vers une autre grande agglomération de galaxies, que les astronomes, fautes d'informations, ont surnommée le " Grand Attracteur " ou " Attracteur étrange". L'ensemble est il Immobile?
7 008 km/h
617,54 km/s
terre
9,81 N
 
29.785890 km/sec orbite solaire
1674 km/h

465m/s

11,186 km/s
lune
1.62 N
1.0221 km/s pour tourner autour de la terre et 29,785890 km comme vitesse solaire orbitale.
synchrone
2.37 km/s

 

Constatations

– Nous vivons dans un champ gravitationnel permanent induit par la masse des astres qui nous entourent. Il s’agit d’une une attraction perpetuelle engendrée par toutes les masses de l’univers, de tout astres et généré par son ensemble qui tend à l’équilibre des forces. Nous sommes si petits sur terre que sur terre, seul la terre agira comme force de masse.

Grâce à la force centripède induite par la vitesse de l’astre qui orbite ( F = la masse * la vitesse au carré / le rayon orbital (lequel d’ailleurs vérifie bien ce principe par l’annulation des forces d’attraction des masses ou gravitation: F=mmG/r2)), l’univers est ainsi composé à majorité de masses qui se maintiennent dans un équilibre perpetuel créé par l’annulation de deux forces:

A. La force de propulsion induites par la vitesse et la masse et le rayon orbital (ou le nb de m parcouru pour revenir au même point/2*Pi)

B. La force d’attraction induite par toute masse plus importante (qui plus est souvent celle autour de laquelle elle orbite)

Conclusion: toute masse de l’univers qui ne répondrait pas à une certaine vitesse qui la maintienne sur une orbite autour d’une masse autre attractive plus importante, se retrouverai rapidement attirée par toute masse à proximité, bien plus grandes, et qui exerceraient une force attractive. Masses qu’elle finirait par rencontrer, par logique de gravitation.

Si le système sattellitaire des planétes, comme le système planétaire répond à l’équilibre des forces d’attraction et centripède, on peut aisément se mettre à penser que les systèmes solaires répondent également à cette même règle de force.

Notes: Il est intéressant aussi de comparer que le système planétaire compte 8 planètes classiques (et des petites tels Pluton, ou les nouvelles petites détectées) qui gravitent autour du soleil, et que l’atome stable compte également bien souvent 8 électrons (18, voire 32), qui gravitent dans la dernière couche électonique. A noter que la même règle physique mmG/r = mv2/r s’applique pour un maintien orbital électronique (masse du proton, masse de l’électron, rayon orbital, vitesse électron)

La aussi, que le noyau avance ou n’avance pas, les électrons bien plus petits, resteront en orbite autour de cette masse (le noyau) tant que les forces extérieures sont stables. Par contre, – est c’est bien souvent le cas – q d’autres forces peuvent influer de l’extérieur sur le noyau comme sur la couche électronique, ou plus souvent (cqfpd) (voir le domaine des forces, des science, de l’électricité, du présent book), principe même de l’échafaudage des matières.

Les astres de l’univers se maintiennent donc en orbite, pour la plupart elliptique, et sont tous en mouvement perpetuel, pour la plupart circulaires, et à des vitesses qui avoisine les 30km/seconde pour la terre, et les 220 km/s pour le soleil, lui même emmené par la Voie lactée qui fonce à 90 km/seconde. Et l’ensemble du groupe fonce à plus de 600km/seconde, lui-même attiré par un amas de galaxie. L’ensemble est-il immobile, en spirale, en mouvement, en sphère ?… personne ne le sait, et les dimensions sont si gigantesque que connaitre la réponse n’amènerai probalement rien de plus. (Mais voir hypothèse ci-après)

 

RESUME

Les forces qui permettent aux astres de se maintenir sur une orbite (ou force centripède) sont composées par les forces gravitationnelles des astres entre eux (Et pour la terre, tel l’astre le plus volumineux qui nous influe (le soleil) à raison d’une attraction exercée de 3,54 E22 Newtons) et par la force centripède de l’astre lui-même qui, une force initiale qui a permet sa mise en orbite.

 

En l’absence de forces qui l’attirent, un objet sera en mouvement en ligne droite et continue, indéfiniment, et à vitesse constante. De fait, se mouvoir en cercle exige l’action de forces.

Pour que l’objet tourne autour d’un autre, et soit maintenu en orbite, il est nécessaire d’appliquer une force qui F qui l’attire constamment vers ce centre O de cette orbite.

cette force se calcule ainsi

F = ma =(masse*acceleration) = mv2/r (masse*vitesse2/rayon) = (ainsi, v2/R = a = 0.0059282 m/s2 pour l’accélération de la terre sur sont orbite) (NOTE = accelération = v2/r

Or, selon F = mmG/d, on trouve une attraction induite par la masse du soleil sur la terre + 3.54361724E22 Newtons. Une force d’attirance

Par contre, la Force centripède qui est nécessaire pour « maintenir la terre sur son orbite solaire tout en faisant le tour est justement de mv2/R ou ma, d’ou

0.0059282 m/s2 *5.9736E24 kg = 3.5426797E22 N ou kgm/s2, qui correspond à la force nécessaire pour maintenir la terre sur son orbite.

(la quantité de matière (de ou en) mouvement = masse *vitesse (kgm/s), on trouve pour la terre 1.7789 E 29 kgm/s)

La force nécessaire pour éviter l’attraction par le soleil, et aussi celle qui permet à la terre de se maintenir en orbite autour du soleil avoisine, laquelle avoisine également les 3.54268E22 – 3.54362E22 Newtons ou kgm/s2, force engendrée par la vitesse de 29.780 km/s. C’est ainsi la référence d’un référentiel inertiel pseudo-isolé

Cette force moyenne et calculée de 3.543 E22N est donc nécessaire pour faire tourner la terre sur son orbite (pour une vitesse de 29.780km/sec) et afin de l’y maintenir face à une attraction composée de toutes les forces environnantes, dont la principale le soleil.

Différence théoriques d’attractivité : 9.4E18N (en faveur du soleil (attractivité) si il n’y avait qu’un astre) = en 1 E19 N

Cette différence correspond aux mélanges des forces exercées par la terre sur les plus petits comme par les autres astres, planétaires, issus de la galaxie, ou des grand attracteurs tel Andromède ou des amas de galaxies.

 

ENERGIE et ORBITES

Pour devoir sortir de son orbite (11.6km/sec est la vitesse de libération de la terre), il faudrait ainsi à la terre une force inculquée de quelque 5.46 E21 Newtons pour qu’elle soit projetée dans l’espace en ligne droite courbe, mais hors de son orbite, et a portée de toute attraction.

Mais en pratique, à moins d’un choc entre astres, nous nous trouvons et resterons donc dans un référentiel rendu inertiel grace à la vitesse de propulsion de la terre dans l’univers – 29.780 km/seconde (107’208 km/h, env. 939 millions de km par an) It’s rapide ! Et cela dure depuis 3 milliards d’années.

Cette force orbitale qui nous maintient en orrbite correspond (à 2 pour mille près) à la force d’attraction du soleil, est est de de 3.54 E 22 N

La différence de 9.4E18 N théoriquement calculée sera le jeu des forces induites par les planètes et autres grand astres influents de l’espace.

Additionnons rapidement les ordres de grandeurs des forces qui nous entourent et leur influence probable

 

-(est attiré), +(attire)
forces induites minimum
min. maximum
Limites
TERRE >>>>>>>
-3.54363E22 N induite par sa rotation
- 1 E 19 pour F = 0
5E21 N- force libération
(1E21-1E22)
soleil
+3.54268E22 force gravitationnelle soleil
***voie lactée
+ 1E18
+ 8E19
Andromede et le reste
+ 1E17
+ 1E18
Amas galaxies
+ 1E16
+ 1E18

Echanges de forces

variable selon position

***jupiter, saturne, etc.
+ 1E18
+ 2E18
***mars
- 6E15
- 1E17
***venus
- 5E17
- 1E18
***lune
- 19E19
- 19.9E20 (énergie de gravitation de la lune) =
1.99E20 se trouve être la force nécessaire pour que la lune se maintienne en orbite autour de la terre, > force orbitale mv2/r, avec v = 1022.09 m/s et R = 384'000'000 m
mais le soleil influe également la lune pour une force de 4.35 E20 N environ, force que témoigne l’ensemble du mouvement de la lune, non pas autour de la terre, mais pour se maintenir dans en orbite solaire (mv2/r = 4.35 E20 N, avec v = 29.7km/s et r = distance terre-soleil)

 

 

TOTAUX
0 Equilibre orbital théorique
0 équilibre orbital théorique

 

 

UNE SPECIALITE DE LA TERRE – SA ROTATION

Outre le fait que’ elle fonce à plus de 29 km/s en orbite autour du soleil, n’oublions pas qu’il y a rotation de la Terre sur elle-même.

La « longueur » du vecteur rotation, ω = 2π / T (= vitesse angulaire) donne la longueur du jour stellaire T, c’est-à-dire l’intervalle de temps qui sépare deux passages consécutifs de la même étoile au méridien. Il est proche du jour sidéral.

Ce qui semble intéressant ici est l’expression de la force centrifuge, puisque nous nous plaçons dans le référentiel tournant de la Terre. Cette force est donc orientée vers l’extérieur de la rotation et est proportionnelle au poids de l’objet en question, de sa distance par rapport au centre de la rotation et au carré de sa vitesse angulaire de rotation 

où Force centripède = Fc = M *Ω2 * R = pour la terre = 5.97E24 kg *7.292E-5 rad/s*7.292E-5 rad/s*6356752 m (rayon pôle)= 2.019E23 kgm/s2 ou N (1 /20 de l’énergie qui la propulse)

En tant que membre du couple Terre-Lune, la Terre devrait tourner sur elle-même en un mois lunaire. La vitesse de rotation de la Terre étant actuellement plus rapide, il y a un ralentissement de la Terre et l’énergie de rotation ainsi récupérée est transférée en énergie potentielle de la Lune, qui se traduit par un éloignement de la Lune

En tant que membre du couple Soleil-Terre, la Terre devrait tourner sur elle-même en une année (elle aurait alors par rapport au soleil une « face éclairée » et une « face cachée », comme actuellement la lune vis-à-vis de la Terre

Des calculs suggèrent qu’il faudra plusieurs milliards d’années pour arriver à une (première ?) synchronisation ou que la terre ne tourne plus sur elle -même

Tout cela pour conclure aussi bêtement que si la terre ne sort pas de son axe – elle serait alors soumise à une forces d’attraction ou u énergie potentielle de mouvement qui l’entraine en orbite – il n’en reste pas moins que deux forces gigantesque de 3.54 E22 Newtons environ, agissent sur une masse terrestre de 5.9736 E24 kg (168kg/N ou 5.9E-3N/kg ou 17 E46N*kg) ou sur 1,08321E21m³.

Près de la surface de la terre, la relation mmG/r2, (r est composé du diamètre terrestre et de la hauteur de l’objet – le diamètre terrestre) h (la hauteur d’un objet) etant très petite comparativement à r de dimension d’au minimum le rayon orbital terrestre (R= 1.49E11 m).

On a ainsi la relation F=mmG/(R+h)²-mmG/(R)²= mg.

La valeur ainsi obtenue par la relation de la gravité F=Gmm/r est des plus importantes pour tout phénomène sur terre, comme dans l’espace. Il témoigne de l’inverse de l’énergie potentielle qui décroit lorsque deux astres ou deux matières se rencontrent, tout en accroissant l’énergie cinétique des interractions entre elles.

De la gravité aux forces qui stabilisent et meuvent l’univers.

Pesanteur, impesanteur, et antipesanteur

C’est là qu’intervient un mélange de savants calculs telles ceux de la position des points de Lagrange (les forces s’annulent en ce point) se fait en considérant l’équilibre d’un corps de masse négligeable entre le potentiel gravitationnel créé par deux corps en orbite et la force centrifuge. m1*r1=m2*r’2 avec R = r2-r1

 

Le problème est là qu’il faille inclure tous les astres de l’univers !

Ainsi pour simplifier:

Le champ de pesanteur (ou plus couramment pesanteur) définit les propriétés du lieu ou on le situe, comme le résultat des champ attractif auquel sont soumis tous les corps matériels entre eux et qui influe cet endroit précis.

Sur terre, le champ de pesanteur vaut approximativement 9,81 newton par kilogramme.

L’impesanteur est l’état d’un corps tel que l’ensemble des forces gravitationnelles et inertielles auxquelles il est soumis possède une résultante et un moment résultant nuls. L’impesanteur est donc le phénomène ressenti en l’absence presque totale de pesanteur ou lors d’une pesanteur très faible.

Le terme « microgravité » est également mal utilisé pour désigner l’état d’impesanteur, en particulier par beaucoup de professionnels. On ne devrait parler de microgravité que très loin de la Terre, ou bien aux points de Lagrange où les champs de gravité « s’annulent », entre Terre et Lune par exemple

(NASA et univers: La densité de l’univers détermine également sa géométrie. Si la densité de l’univers dépasse la densité critique, alors la géométrie de l’espace est fermé et de courbure positive, comme la surface d’une sphère. Cela implique que dans un premier photon chemins parallèles convergent lentement, éventuellement croix, et retourner à leur point de départ (si l’univers dure assez longtemps). Si la densité de l’univers est inférieure à la densité critique, alors la géométrie de l’espace est ouvert, courbure négative, comme la surface d’une selle. Si la densité de l’univers est exactement égale à la densité critique, alors la géométrie de l’univers est plat comme une feuille de papier. Ainsi, il existe un lien direct entre la géométrie de l’univers et son destin.

La version la plus simple de la théorie de l’inflation, une extension de la théorie du Big Bang, prédit que la densité de l’univers est très proche à la densité critique, et que la géométrie de l’univers est plat, comme une feuille de papier. …

 

Cartographie simplifiée des forces universelles qui entourent la terre ou qui composent l’univers.

 

Après ces calculs, deux manières d’aborder la suite, ..

et je ne sais point si l’humain aura la réponse à ces question universelles …

ou s’arrête l’univers, d’ou vient la matière en expansion., n’y a -t-il vraiment rien de vivant ni personne ailleurs ?

Mais à force d’étudier ces quelques valeurs de forces gravitationnelles et d’inertie orbitale qui gouvernent la position des astres de l’univers, voyons quelques dessins schématiques de ces réseaux de forces.

 

A gauche, le système solaire et les forces qui conditionnent les mouvement planétaires

L’ensemble est en mouvement dans notre « galaxie », elle même en mouvement circulaire,

attirée par un amas de galaxie, qui lui meme semble orbiter vers un « grand attracteur »

En poursuivant cette logique, on peut échafauder quelques formes probables de l’univers dans lesquels gravitent les constellations et les galaxies, autour d’un astre comme le soleil ? Un superattracteur ?

Hypothèse première : Il se peut ainsi très probablement que l’univers ait un centre « attracteur », lesquelles forces interragissent comme le font les planètes en équilibre autour du soleil. Des nébuleuses, des grandes étoiles, des grandes galxies, auront des influences sur les plus petites en orbite, comme le soleil sur la terre.

Mais est l’attracteur qui absorbe ainsi des matières pour réémettre des particules ? comme un coeur filtre pompe et renvoie de la matière ?

La notion d’attracteur apparait également dans la logique du noyau électrique, la picodimension, lorsque l’électron est stabilsé sur son orbite par la force à laquelle il tourne autour du noyau qui l’attire.

Aussi, pourquoi ne pas poursuivre en affirmant que le fonctionnement de l’univers y ressemble fortement, comme l’attraction du soleil et des planètes en orbite autour de celui – ci, ou l’attraction d’astres par de plus grand autout duquel les plus petis gravitent ?

Voici les images primaires d’une vision de galaxie dans l’univers. ou de systèmes solaires dans une galaxie

RALLONGE D’HYPOTHESE

Si l’on se met à penser que l’attracteur principal tourne également sur lui-même, entrainé par les forces orbitales, il se pourrait bien que

A1. L’attracteur ne soit alors qu’un passage obligé au travers une matière en fusion ou du vide (Trou noir), qui serait alors en même temps une une porte d’entrée pour un second univers parralèle ou symétrique.

A.2. L’attracteur soit alors une masse gigantesque qui recrache autour de lui, après transformation à haute température, l’ensemble de ce qu’il avale ou attire. Il va de soi que la température d’un tel coeur serait très élevée (ordre du milion de degrés). Totalement destructeur et créateur, similaire au soleil, mais alors INTRAVERSABLE.

Mais en situation de mouvement, cet ensemble pourrait tout aussi bien être alors représenté par deux masses d’attraction gigatesques qui ne feraient que tournoier sur elles – mêmes, en emmenant l’univers avec ell. C’est l’hypothèse qui m’apparait de plus en plus logique.

(le problème est le même que pour deux trous noirs qui correspondent à un éventuel second – ou tierce – univers parralèle ou symétrique.)

(image de droite en haut ci dessous) pour donner à l’univers un équilibre des forces, comme dans tous les niveaux.

et bien évidemment tentez de vous représenter ces images en 3 D, et cela ressemblerai tprsque à notre univers, non ?=?

Et pour conclure, si l’on dispose d’ordinateurs suffisemment puissant pour effectuer tous les calculs, nous pourrions établir une cartographie des forces nulles de l’univers ou la gravité n’aurait pas lieu d’être ou se retrouve infime, car toutes les forces présentent s’annulent en certains points. Il nous est encore certes difficile de profiter de ce champ hypo-gravitationnel pour se déplacer plus rapidement, ce dernier étant à la fois, lui-même en mouvement permanent, du fait du déplacement des astres.

Mais c’est une piste pour avoisiner des vitesses de déplacement bien plus élevées que dans un champ de gravité tel que nous le connaissons.

 

D’ou la question: COMBIEN PESE -T-ON et OU ?

La gravité à l’intérieur de la terre et dans un espace proche

(Au dela interviennent bien évidemment d’autres valeurs de champs de gravités induits par d’autres astres, fonction de leur masse et de leur distance.)

Avec 6 356 752 m = distance du centre de la terre au niveau de la mer des pôles, et la terre étant un corps a peu près sphérique, seules les masses et les volumes volumes contenues dans la sphère formée par le rayon intéressé fait foi de force sur un objet. Pour l’espace, le calcul est différent.

ENDROIT
Masse de terre
(sphère) kg
La masse d'un objet de
1 kg est
100'000 km de la terre, espace
10'000km de la terre, espace proche
6356 km
1000km
10km ou 10'000m, avionique
(R/R+h)2*g (=9.81 pour la terre)
0.03 N en apesanteur
1.48 N
2.6 N
7.32 N
9.77 N
 
Surface de la mer
6 356 752m
5.97E24
9.86 N
sous la terre à 3000 km (env. moitié du centre)
6.16 E23
4.56 N
à 1000 km du centre
2,28E22
1.52 N (comme sur la lune…)
à 1000 m du centre de la terre - dist 1000m
2.28E13
0.0015N
à 1 m du centre de la terre
dist . 1m
 
5.4E3
0.000001N
AU CENTRE DE LA TERRE, tout objet de 1 KG à une masse NULLE.

 

Dans l’espace, le poids de la matière diffère. Plus on s’approche d’un grand astre, plus son attraction est forte. L’attraction gravitationnelle diffère pour chaque astre et est fonction du poids (et de la vitesse en situation orbitale) de l’astre.

Voyons ici la Terre, la Lune, le Soleil et Saturne.

     

      

A représentent la valeur de la constante gravitationnelle selon l’altitude en mètres, ou la masse en Newtons

B : Une masse de 9,81 N à une altitude en mètres correspond à un poids de Y kg

Remarques – Constats

– Il faut ainsi se trouver à une distance de 14’000 km de la terre pour diminuer l’influence gravitationnelle terrestre (9.81 m/s2) d’un facteur 10 (0.98 m/s2)

– Il faut se trouver à 400’000 km du soleil pour être soumis à la même force que nous subissons sur terre (9.81), et à plus de 10’000’000 de km de celui-ci pour diminuer cette influence d’un facteur 10, identique à celui engendré à 14’000 km de la terre (0.98)

– Le soleil influe le champ gravitationnel d’un corps de 1 kg situé sur terre à raison de 0.005932 m/s2 alors que la terre l’influe pour 9.81 m/s2. (environ 1000 x moins que la gravité sur terre > 1 kg pèserai un peu moins de 1 gramme)

C’est ainsi la plus petite valeur que nous pourrions percevoir comme champ gravitationnel dans l’espace interplanétaire du système solaire à une distance équivalente à celle qui nous sépare du soleil (149 millions de km du soleil)

Au dela de ces 149 millions de km qui nous séparent actuellement du soleil, par exemple en se dirigant en sa direction opposée à la terre, cette valeur irait certes en diminuant plus rapidement, avec se se trouver dans un champ lui ressemblant.

Cette valeur ne peut être nulle, mais elle pourrait avoisiner une valeur de traces, dans les confins de l’univers sans matière.

car même à 10E11 km de notre Nébuleuse, sa masse et son ensemble influe déja sur le fond de la gravitation spatiale à raison de 0.0005 m/s2. (1 kg pèserai 1/100g, voire moins)

Il n’y a donc point de champ gravitationnels de 0 qui ne laisse point de masse et il faudrai donc aller bien au delà d’éventuels 1000 milliards de km pour apprécier une apesanteur inférieure à ceux décrits d’influence et issus de notre constellation d’Andromède ou des 50 soleils à moins de 12.5 années lumières.

ORDRE DE GRANDEUR DES CHAMPS GRAVITATIONNELS DANS L’ESPACE

Nous retrouvons donc dans l’espace des champs de gravitation qui s’échelonne dans un ordre de grandeur de

___________________________________________________

1/10000 – 1/100000 de la gravitation terrestre ou une gravité entre 0.0001- 0.001m/s2 0.005m/s2 dans le vide de l’espace, On trouve ce champ à plus de 10E11-10E12 km des grand astres, soit à une distance en km parcouru par la lumière en une ANNEE. On pourrait certes trouver un champ encore inférieur à des milliers d’années lumières des astres. L’on ne devrait pouvoir dépasser une gravité inférieure à 1/v= 0.0000033 (lumière) qui semble la plus basse gravité que l’on pourrait trouve dans les confins de notre de notre galaxie. Sans quoi le monde serait rempli de trous noirs….

____________________________________

1/1000- 1/10000 de la gravitation ou une gravité de 0.001-0.01 m/s2 dans l’espace et à des distance moyennes de plus de 20 à 200 millions de km pour des astres de la grandeur du soleil, mais à 20’000 km de la terre . Une gravité qui semble courante dans l’univers

________________________________

1/10 – 1/100 de la gravitation ou une gravité de 0.1 – 1 m2/s, dans l’espace à des distance moyennes de 10’000 – 100’000 km d’astres tels les planètes, et à plus de 2’000’000 de km d’astres tels le soleil. Une gravité courante à proximité des grands astres

__________________

1 x la gravitation (1/10-10x), qui sont les champs que l’on peut trouver sur terre ou des planètes d’une dimension similaires, voir sur des satellites naturels d’astres, ou ce dernier autour duquel le satellite gravite engendre une influence gravitation beaucoup plus forte par sa proximité que ne le ferait le soleil par sa « lointitude »

____________

On trouvera enfin des valeur de 10 – 100 x la gravitation terrestre, en surfaces de plus grand astres que la terre, comme Sature ou le soleil.

____________________Un premier constat implacable__________________?________________

Pouvant être 10-100, voire 10’000 fois plus légers en certains endroits de l’univers

Il va de soi qu’avec une même énergie de propulsion déployée dans ces différents

champs de gravité, la vitesse ainsi déployée pourrait dans une certaine mesure

être proportionnelle à cette diminution de poids.

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Mais reprenons tout d’abord la notion de poids en la liant aux vitesses et

aux vitesse de libération, et de poussée, …

La vitesse nécessaire pour qu’un objet puisse sortir de l’attraction terrestre est de 8 km/seconde ou 28’800km/heure. Il s’agit de la première vitesse cosmique.

La première vitesse dite cosmique d’un objet placé en orbite et de mase m, lui permet de se maintenir en orbite autour d’un corps de masse M, de rayon r et à une altitude h = √ (GMm/r+h) =

Une vitesse supérieure *1.414 ou Ve = √ (2GMm/r+h) qui correspond à une vitesse orbitale cosmique *√2, ou une vitesse d’évasion – appelée aussi

La seconde vitesse, qui permet à l’objet de quitter l’orbite d’attraction de la masse, est de

– 11.2 km/seconde ou 40’700 km/h. Il s’agit de la vitesse de libération

La première vitesse place un objet (satellite par ex.) en orbite

La seconde vitesse envoie un objet dans l’espace hors de l’orbite de l’astre.

DONNEES POUR LA TERRE, évolution selon l’altitude (Z), de

– Vc Vitesse circulaire (Également appelée première vitesse cosmique). C’est la vitesse minimum à atteindre pour placer un objet de 1 kg en orbite terrestre à partir de telle altitude….

– Ve Vitesse d’évasion (Également appelée deuxième vitesse cosmique). C’est la vitesse minimum qui permet de placer un objet de 1 kg hors de l’orbitale terrestre à partir d’altitude…

– P, Pesanteur exprimée en grammes. (1 gramme pèsera x gramme à telle altitude)

– La durée de révolution orbitale exprimée en Heure, Minute, Seconde

 

 

Les deux dernières lignes, en gras, correspondent à 35’842.5 km35 842 500 : orbite géostationnaire. En effet, la Terre tourne sur elle-même en 23 heures 56 minutes et 4 secondes. Il suffit donc d’orbiter précisément à cette altitude, pour tourner autour de la planète dans le même temps qu’elle tourne sur elle même. Ce qui permet de rester immobile au-dessus d’un point choisi de l’équateur.

387 000 000 m = distance de l’orbite lunaire moyenne.

Reprenons l’ensemble

Règle 1.

Tous les corps matériels de l’Univers s’attirent selon une force qui est proportionnelle à leur masse et inversement proportionnelle au carré de la distance qui les sépare. /F/ = G * m * m’/ r²

Règle 2.

Tout corps se maintient sur un rayon orbital (r) par la force qu’il excerce au travers sa masse (m) et de sa vitesse au carré (v)/Fc/ = mv2/r.

Tout petit corps qui vit sur un grand, subit la même force d’attraction que son voisin, force induite par la masse du grand corps sur lequel il se trouve.

A la surface de la terre, cette force est de 9.81 m/sec2. Elle correspond également au champ gravitationnel.

Ce champ de force diminue selon la distance à la masse. Le principe est le même pour toute masse.

Il diminue également lorsque l’on s’approche de l’intérieur de la masse (le volume agissant devenant plus petit)

Il diminue également lorsque l’on s’éloigne de la masse.

Les valeurs des accélération (forces attractives) les plus courantes du système solaire seraient de de

0.005 loin du soleil, et peuvent avoisiner 0.0005 m/s2 (ou moins), lorsque l’on se trouve à des des milliards de km des constellations.

La vie telle que nous la connaissons ne se trouvera certes que dans des champs avoisinant 9.81 N + – ?

L’accélération avoisine 1 à quelques dizaines de m/s2 à la surface des petits astres (terre:9.81) qui sont maintenus en orbites autour des grands.

On peut trouver de nombreux points de l’univers ou

1 – les forces entre les astres s’annulent et à la gravité est nulle. Ces points évoluent en fonction du mouvement des astres (point de Lagrange)

2 – ou les forces de gravité sont très faibles (à de grandes distances de grands astres ou en leur centre)

3 – Quelques planètes, satellites, masses, ou endroits de l’univers peuvent témoigner de champs avoisinant le centre de gravité terrestre de 9,81 N

4 . Et des endroits ou la force fgravitationnelle serai telle que nous ne pourrions plus bouger tant nous serions lourds (soleil et grands astres…)

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CALCULATEURS pratiques >

Calculateur de la loi de Keppler, des accelérations et des forces

Calculateurs divers – Gravitation

Calculateur des points de Lagrange

Calculateurs divers (et chimie physique)

et ci-bas le calculateur des probabilités de vie dans l’univers selon Drake.

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Un engin pour se déplacer à quelle vitesse pour aller jusqu’ou ?

Quel domaine du possible ? en profitant des champs gravitationnels ? Hypothèses.

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NOTIONS DE VITESSES (rappel: 1 m/s = 3.6 km/h)

341 m/s le record de vitesse terrestre actuel, vitesse de croisière des avions de ligne

– Contrairement à une majorité d’astres et de satellites, la terre tourne sur elle-même à une vitesse de 1674 km/h (465 m/s) à l’équateur. Vitesse qui va en décroissant en s’approchant des pôles, pour atteindre une vitesse nulle. Grace à cela, elle à pu former un atmosphère qui la protège des vents solaires, et qui traduit le climat terrestre, les vents et les courants marins ou aériens. L’interraction avec la lune définit le cycle des marées.

1 000 m/s est la vitesse terrestre d’une balle de fusil typique 

1 400 m/s est la vitesse d’une navette spatiale lorsque les réservoirs à combustible solide se séparent.

4 500 m/s est une valeur typique pour l’impulsion spécifique des fusées actuelles.

8 000 m/s est la vitesse de la navette spatiale juste avant son entrée en orbite, vitesse satellitaires typiques

400m/s est la vitesse de croisière des avions de ligne

11’200 m/s est la vitesse nécessaire pour échapper à l’orbite terrestre

11’200 – 16200 m/s est la vitesse d’échappement typique des engins spaciaux

29’700 m/s est la vitesse de la terre dans l’espace

70 220 m/s est la vitesse de la sonde solaire Helios, la plus rapide développée par l’homme (1 t)

200’000 m/s est la vitesse orbitale du système solaire dans la voie lactée

450’000 m/s est la vitesse d’une particule de vent solaire (qui mettent 3 jours pour atteindre la terre)

30’000’000 m/s est la vitesses des électrons

299792458 m/s est la vitesse de la lumière ou d’une radiation électromagnétique dans le vide (terre-soleil en 8 minutes)

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Pour sortir de l’orbite terrestre, il faut avant tout

– au minimum appliquer à la masse de l’objet une force de propulsion qui lui permette d’atteindre une vitesse moyenne d’au minimum 11700 m/sec (40’300km/heure). En 1 heure, l’engin se retrouvant à 40’300 km, il serait soumis au champ gravitationnel composée de la terre qui va en diminuant ainsi de de celui d’astres dont il se rapprocherait. Ainsi, à 40’000 km de la terre, la gravité y est déja 30 x plus faible que sur terre. Somme g = (terre 0.25)+(soleil 0.005)+ proximité planètes éventuelles … (0.005, var) = env. 0.25-0.3. Et à 400’000 km la gravité y est env. 300 x plus faible que sur terre

g variera ensuite à la baisse ou à la hausse, en fonction de la proximité entretenue avec les grand astres influant le champ gravitationnel de l’univers. Elle sera comprise entre 0.0005 et 0.005 dans le champ gravitationnel que j’appellerai « faible » de notre galaxie » (1000-10000 fois plus faible que sur terre). Bien que cette valeur aille en augment à l’approche de tout astre (plus il est grand, plus sa force est lointaine), on la retrouve comme un lieu ou une cartographie d’autoroutes des champs de forces gravitationnels.

 

FICTION:

Ne pourrait-on point profiter de ces faibles forces de gravitation afin de se glisser entre les astres et visiter l’univers à grande vitesse ?

CHAPITRE d’une REALITE SCIENTIFIQUE FUTURISTE ? FICTION PART 1

muni de bons réacteurs 

   activables de tous côtés,

doté de techniques (plasma, électromagnétique, magnétique) permettant d’atteindre des vitesse de propulsions comprises entre 10 – 29 km/s en tous sens, nous pouvons facilement penser que les déplacement dans l’espace restent du domaine du possible.

HYPOTHESE:

Si nous disposions donc d’une énergie capable de propulser en tout une masse de par ex. 10’000 tonnes

à plus de 29km/seconde dans un champ gravitationnel de 9.81 (10) m/s2 et que nous utilisons cette même énergie dans un champ gravitationnel différent, comme

– 10 x plus faible, soit un champ de 1 N, la vitesse avoisinerai alors 297 km/s (champ faible de proximité)

– 100x plus petit, – 0,1 N, la vitesse avoisinerai 2970 km/seconde (champ faible d’éloignement)

– 1000 x plus petit, – 0.01 N la vitesse avoisinerai 29700 km/seconde (champ de fond système solaire)

Dans un champ gravitationnel d’une intensité 10’000 x plus petite que sur terre, …. comme 0.001 N, on peut se mettre à penser que la vitesse avoisinerai dès lors 297’000 km/seconde (une presque similitude avec la vitesse de la lumière dans un champ décrit comme forces minimalistes gravitationnelles de l’univers), la masse de 10’000 tonnes ne pesant alors plus qu’une seule tonne !

______________________________________________________________________________________________________

Bien évidemment, cela n’est que théorie, mais il suffirait d’atteindre ainsi un champ de gravité qui nous permettent d’atteindre les 1000 km/seconde et l’on parcourerait déja 3’600’000 km en 1 heure, ou 3 jours pour parcourir la distance du soleil. Mais la encore, il en faudrait encore 3000 à 3’000’000 jours (10-1000 ans) pour atteindre d’autres formes de vie possible dans les alentours de la constellation d’Andromède (située à 9E18km), notre galaxie.

Je reste dès lors persuadé qu’il serait possible d’atteindre des vitesses incroyables là ou les champs gravitationnels sont faibles, qu’il est possible de se déplacer à une vitesse de 1/10 de celle de la lumière, voir à la vitesse de la lumière et d’atteindre ainsi en quelques années les premiers confins de l’univers.

De quoi utiliser ces « autoroutes de champs gravitationnels faibles » pour se déplacer dans l’espace.

Il reste alors à assumer >

la pesanteur due à l’accélération ou la décélération rapide des objets, l’oxygène nécessaire, l’alimentation, et une énergie d’auto-propulsion, outre la partie technique de resistance des matérieux ou du corps à l’accélération et aux grandes vitesses…

 

Dans la pratique, les générations future peuvent y croire…, nous ne sommes surement pas seuls dans l’univers.

Ce dernier est trop grand, trop inconnu, trop bien réglé, pour que nous y soyons seuls.

Alors j’ai apprécié cette images crédit NASA, qui témoigne bien de ce que nous pourrions vivre à des vitesses de déplacement qui, comparativement à la vitesse de 29.7 km/s de notre terre, y serait 10 à 100 fois supérieures.

 

 

Pourquoi la vitesse de la lumière

Plus rapide que les particules solaires (450 km/sec), que certaines particules électroniques (1600-4000 km/h), il y a la lumière qui avante à raison de 299 792, 458 km/seconde ou un peu de 1 milliard de kilomètre en ce que nous percevons comme une heure.

La lumière met ainsi :

– 1.3 seconde pour arriver depuis la lune

– 492,33 secondes ou 8,2 minutes pour nous parvenir depuis le soleil (149 E9 km) (= 1 UA)

– 5 heures pour nous parvenir depuis Pluton, la planète qui semble la plus éloignée de notre système solaire.

– la lumière parcoure en 1 année 9,46 E12 km (1000 milliards de km). Une fusée Ariane 5 (si on estime sa vitesse moyenne après le décollage à 8000 km/h) mettrait des centaines de milliers d’années pour parcourir une année-lumière à cette vitesse. Elle pourrait mettre 100 ans à une vitesse de 299 km/s !

Loin de nous donc de pouvoir aller visiter les confins de l’univers qui se situent à des distances de

– 4 années – lunières pour le proxima du Centaure, la plus proche étoile, ou encore notre galaxie, qui se situe à plus de 1000 années lumière de nous, et encore moins la prochaine galaxie à plus de 2.2 millions d’années lunières.

Les confins de l’univers connus sont donnés à plus de 15 milliards d’années lumières. Pas de quoi espérer les visiter donc.

Il nous est donc impossible comme petit humain – à moins de dépasser la vitesse de la lumière d’aller visiter les confins éventuels de notre propre galaxie, tant l’univers est vaste. … ou d’obtenir enfin la réponse sur l’existence même de l’univers.

En effet, la lumière parcourant 299’000 km/seconde, celle-ci parcourera durant

1 minute, 7 x la distance du terre-soleil

1 jour: 2,59 E10 km ou 170 fois la distance terre soleil

1 an = 9.46 E12 km = 1 ANNE LUMIERE (AL)

____________________________ LIEU des PREMIERES ETOILES (Proxima centaure, 4 AL)

10 ans 9.46 E13 km ou 10 AL

____________________________LIEU du PREMIER NIVEAU DE l’ESPACE – (env. 400 grandes étoiles)

100 AL, ou 9.46 E14 km ou 100 AL

____________________________ LIEU de l’AMAS DES CEPHEIDES , d’ANDROMEDE,

1000 AL ou 9.46 E15 km ou 6 E8 AL (10’000 AL)

Remarques: la lumière ayant mis 10’000 années pour nous parvenir du lointain de notre galaxie, on peut se poser la question de l’existence même de ce que nous pouvons espérer voir à de telles distances !!!

Car ce que nous  » voyons  » (la lumière qui nous arrive), n’est ici que le reflet de ce qui s’est passé il y a environ 10’000 ans dans cette partie de l’univers.

_________________________3 ème niveau de l’univers

100’000 AL années > 9.46 E 17 (100’000 AL) – niveau de notre galaxie

1 million AL ou 9.46E17 (1 E6 AL) – approche de la prochaine galaxie

Remarques: la lumière ayant mis 1 million d’années pour nous parvenir de cette partie de l’univers, on peut davantage encore se poser la question de l’existence même de ce que nous pouvons espérer voir à de telles distances !!!

Ce que nous  » voyons  » à de telles distance (la lumière qui nous arrive) n’est ici que le reflet de ce qui s’est passé il y a environ 1 million d’année dans dans cette partie de l’univers.

_______________________4 ème niveau de l’univers

100 millions AL – 9.46E20 km

1 milliard AL ou 9.46 E 21 km

10 milliard AL ou 9.46 E 22 km =

Ce que nous  » voyons  » à de telles distances (la lumière qui nous arrive) n’est ici que le reflet de ce qui s’est passé il y a environ 10 milliards d’années dans dans cette partie de l’univers (d’ou la notion d’age de l’univers)

15 milliards AL environ : ____5ème niveau de l’univers > CONFINS DE L’UNIVERS CONNUS

 

Et à ce jour, bien que la technique soit évoluée et évolue toujours, nous ne pourrions qu’espérer sortir déja enfin des confins de notre système solaire, et se retrouver en 10 ou 100 ans, autour de quelques autres soleils de notre galaxie et peut-être parmi d’autres vie et d’autres planètes qui graviteraient autour de ces soleils, de la dimension de la terre et muni de système de vie aussi bien orchestrés comme sur Terre. Encore faut-il que nous ayons acquis des techniques de propulsion dignes de la vitesse de la lumière ou supérieures, sans quoi une seule génération ne suffirait même pas pour nous renseigner sur l’existence même de cet horizon lointain.

Et il se pourrrait touti aussi bien que tout ce qui se trouve au delà des temps de l’espèce humaine (env… 6000 ans de connaissances transmises) … ou environ à plus de 6000 années lumières de distance, ne soit qu’*illlusion*, puisque ce que nous voyons à ces distances n’est que ce qu’il s’y trouvait il y a plus de 6000 ans.

Cet horizon que nous voyons depuis ici est -il toujours là aujourd’hui et dans les même conditions ?

Nul ne peut prétendre à la réponse à ce jour … et ce avec davantage de certitudes que l’on en que l’on souhaiter voir plus loin.

 

Il reste un moyen pour le savoir, capter l’information !

… des signes …. nous y reviendrons dans le chapitre onde et électricité

 

 

Distances en années-lumière

 

Ce que nous apprenons également par ces grands chiffres, c’est à devenir humble.

car si nous ne pouvons visiter les confins de l’univers tant il est grand et lointain, nous pouvons imaginer que tout ce que nous voyons, mis à par le soleil et les planètes, c’est le résultat rendu « visuel » de ce qui s’est passé la -bas dans l’univers il y a fort longtemps. Et nous ne saurons que dans de nombreuses années ce qu’il s’y passe réellement et actuellement.

On a certes déja relevé et situé quelque 65 étoiles (soleils) et 4 naines brunes à moins de 16.038 années lumières (novembre 2007), comprises dans 50 systèmes stellaires.

De quoi se dire également qu’il peut s’y trouver à moins de 16 années lumières plus de 400-500 planètes qui pourraient graviter autour de ces étoiles.

Lorsque nous regardons les soleils (les étoiles) lorsque le notre s’est couché, nous les voyons toutes avec un décalage de temps qui correspond au temps que met la lumière pour nous parvienir depuis la distance qui nous sépare de cet astre.

Ce décalage va en s’accroissant jusqu’au confins de l’univers, ou ce que l’on pense y voir est en fait lorsqu’on le voit, ce qui fût il y a 10000 ans pour d’autres autres galaxies proches, voire 1 millions ou 15 milliards d’années pour les confins les plus reculés

Et si dans un rayon compris entre 12.5 et 20 années-lumières nous trouvons quelques dizaine d’étoiles, on peut supposer 320 et 2000 astres planètes à moins de 12.5 AL

Si dans un rayon de 20 AL, nous trouvons quelques centaines d’étoiles, on peut supposer quelques milliers de planètes possibles

Et si dans le rayon de notre galaxie, nous trouvons des millions d’étoiles, et supposons quelques dizaine de milliers de planètes

Et bien, dans un rayon tel qu’on l’imagine de l’univers de, ces chiffres témoignent de la présence de plusieurs miliards de milliards d’étoiles et quelques dizaines de milliards de miliards de planètes probables.

Mais ce que nous savons aussi de tout cela, c’est que ce que nous voyons se trouve être dans un temps reculé qui correspond à l’époque ce ou la lunière est partie de la bas pour arriver ici, ce qui correspond au nombre d’années lumière de distance.

Même en jouant au loto, la vie existera ailleurs, c’est certain, mais alors ou sont les vivants d’ailleurs ?

Tel fut le paradoxe de Fermi.

Devant ces chiffres astronomiques, le savant et prix nobel de physique italien Enrico Fermi s’était étonné de l’absence de traces extraterrestres sur notre planète et dans le système solaire. Cette absence pose en effet des questions. Avant Galilée, le géocentrisme plaçait la Terre au centre de l’univers. Pourrait-on poursuivre ainsi de même avec l’homme et l’intelligence ?

Le paradoxe:

Il apparaît peu vraisemblable que la vie n’ait pu naître que sur notre planète dans une galaxie qui contient déjà des étoiles plus âgées de milliards d’années que le Soleil. Des civilisations plus avancées que l’humanité devraient l’avoir « colonisée » en quelques dizaines de millions d’années, pensait Fermi, un temps insignifiant vu l’âge de l’univers (~13,6 milliards d’années). Pourtant, on ne rencontre pas d’extraterrestres sur Terre. Mais où sont-ils donc ? Tel est le « Paradoxe » de Fermi.

Le paradoxe de Fermi est une démonstration qui tendait à prouver qu’il n’y a pas actuellement dans notre galaxie de civilisation ayant atteint une technologie leur permettant de voyager entre différents systèmes solaires (donc encore moins dans des systèmes galactiques)

Critique du paradoxe :

A) son champ d’application spatial est limité
La démonstration de Fermi est limitée à notre seule galaxie ! Et pour cause, la galaxie la plus proche de chez nous, M31 d’Andromède est à plus de 2 200 000 années lumières de la notre. Fermi ni nous-même ne traitons donc le problème de la vie dans l’univers mais celui de la vie dans notre galaxie (sachant qu’il y dans l’univers entre 50 et 125 milliards de galaxies) !!!

B) la technologie présentée par Fermi ne dépasse pas la vitesse de la lumière. Or, pour espérer savoir si tout ce qui existerait-encore à plus de 10000 années lumière existe réellement, il faut certes une vitesse bien supérieure pour atteindre cette distance à une échelle de vie humaine.

C) Fermi a oublié que la vie a mis plus de 1 milliard d’années pour apparaitre, et 3 milliards d’années pour se développer sur terre, avant qu’un être doté d’une intelligence supérieure puisse appararaitre, généré par le développement toujours amélioré de la vie. Il n’y a que eulement depuis 10’000 ans que l’homme construit, et que depuis 40 ans qu’il a pu poser un pied sur la lune.

Si donc, tout développement d’une vie intelligente prend plus de 3 milliards d’années pour un aboutissement, ….on peut certes penser qu’ailleurs, personne n’aura été plus vite dans le développement de la vie, à moins d’être arrivé avant . On ne trouvera aisni pas de vie intelligente sur une nouvelle planète, mais uniquemement sur une planête qui préservée dans des conditions optimales durant 3 milliards d’années, aura pu voir se développer la vie. En se balladant dans l’univers, on risque dès lors fortement de tomber à la fois sur des formes de vie moins développées, des formes de vie mieux développées que nous, voie encore des formes de vie éteintes (ou fossilisées). Ce n’est que quand les formes de vie auront atteint un niveau d’intelligence suffisant pour developper des engins suffisemment rapide pour égaler ou dépasser la vitesse de la lumière que nous pourrions espérer découvir d’éventuelles planètes qui auront au moins une histoire comme celle de la terre à raconter.

L’INTELLIGENCE ne s’invente pas, elle se construit, comme une vie Intelligente. comme l’intelligence de la vie… Ce processus a pris plus de 3 milliards d’années pour l’humain de 2010.

 

EQUATION DE DRAKE – ou le calculateur des probabilités de vies extraterrestres

Drake comme Fermi s’est intéressé au sujet. Son calculateur ne s’addresse également qu’a la dimension de notre galaxie. Toutefois, nous pouvons multiplier le résultat obtenu par le nombre de galaxies de l’univers (on peut admettre quelques millions à milliards de galaxie pour les confins). Drake semble aisni beaucoup plus proche de la réalité que Fermi, car les questions qu’il pose sont implacablement logiques.

 

 

Exobiologie : de l’origine de la vie à la vie extraterrestre

 

Equation ou Formule de Drake

>>>> LIEN ICI    >>>> 

http://exobio.chez-alice.fr/formule.htm

 

Tout cela nous fait dire que pour porter éventuellement la connaissance ou l’intelligence un peu plus loin dans l’univers, il est nécessaire de porter des déduction de la relativité, et d’aller à des vitesses avoisinant (ou dépassant si nous le pouvons) la vitesse de la lumière. Sans quoi, il y a davantage de chance à ce jour, que ce soit d’autres formes de vie extraterreste, dotés d’une intelligence supérieure qui débarquent avant que nous débarquions chez elles

Or, il reste la relativité, et la vitesse de la lumière ?

Si nous pouvions dépasser la vitesse de la lumière, la contraction des longueurs et de temps dans le sens de déplacement du socle de Michelson ou des équations de Langevin serait-elle donc entièrement à revoir? Pourrait-on aller plus vite que la lumière ?

Voici une première ébauche ou « RIEN ne va plus vite que la lumière ».

La lumière est aisni une vitesse maximale limite que toute matière ou onde peut atteindre. Rien ne peux la dépasser.

Paradoxe de Langevin: contraction du temps et des longueurs.

l’ = l × t’ = t × √ (1- v2/c2) et

t’ = t × √ (1- v2/c2)

Ce principe s’appliquerai dès lors lorsque nous avoisinons la vitesse de la lumière. On considère alors que plus un voyageur s’approche de la vitesse de la lumière, plus le temps passe lentement pour lui par rapport à un observateur extérieur. Équation pour le temps :

t’ = t × √(1- v2/c2)

La vitesse de la lumière étant c = 299792,458 km/s.

Prenons deux jumeaux, l’un reste sur Terre et l’autre part faire un voyage dans l’espace. Le voyageur file à 260 000 km/s, faisons toujours abstraction des temps d’accélération et de freinage. Notre jumeau, resté sur Terre patiente pendant 50 ans avant que son frère voyageur ne revienne de son périple. De par la contraction du temps, notre voyageur n’aura vieillit que d’environ 25 ans…

= 50 × 0,498 = 24,89 = 24 ans, 10 mois et 21 jours.

C’est ainsi que propulsé à la vitesse de la lumière, selon ce princupe le temps s’arrêterait, et notre voyageur ne vieillirait plus ? De là à penser que qu’ à la vitesse de la lumière, on ne vieillirait même pas et l’on pourrait aller loin dans l’univers, notre perception du temps suivant également la même relation qu’il y aie une l’on dépassait une contraction ou une dilatation du temps perçu.

Se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière serait, selon cette théorie également, rendue impossible, car notre masse augmenterai également en fonction de notre vitesse. Au bout d’un moment, on se retrouverait avec une masse telle qui malgré son poids dans un champs faible de gravité, ferai qu’il nous est impossible d’accélérer d’avantage. De même, il y a un risque que la fusée se transforme en énergie spontanément. A cela, il faut ajouter autre un problème de contraction du temps, faisant que lorsqu’au bout de 10 ans de voyage notre astronaute arrivera sur Proxima du Centaure, plusieurs siècles se seront écoulés sur Terre… Ainsi de gros autres problèmes en perspective.

Des scientifiques américains ont annoncé détenir une solution théorique à ce problème. Il suffirait d’entourer l’engin d’une « bulle » d’anti-matière (what’s this). A ce moment, l’espace-temps et le champ gravitationnel défilerait sous la fusée comme un tapis roulant, à une ou plusieurs fois la vitesse de la lumière. Impossible de dépasser la vitesse de la lumière dîtes-vous? D’accord, mais dans ce cas, la fusée est immobile. Elle ne bouge pas. C’est l’espace-temps qui se « déroule » sous elle. De par là même, plus de problème de relativité et de temps ne s’écoulant pas à la même vitesse : la fusée étant immobile, elle n’est pas soumise à ces phénomènes. c’est l’espace-temps qui bouge, pas la fusée. De quoi rendre visite aux martiens plus souvent, non? cqfd à suivre ces prochaines décennies.

Je doute fortement de ces principe de dilatation du temps et de matière lorsque l’on avoisine la vitesse de la lumière ! Il me semble que cela apparait comme pour le son, on le dépasse à Mach et il n’est simplement plus synchrone avec l’objet qui est la cause du son. Il en va probablement de même avec la lumière.

> RELATION MUR du son, mur de lumière

Le nombre de Mach est un nombre sans dimension, noté Ma, qui exprime le rapport de la vitesse locale d’un fluide sur la vitesse du son dans ce même fluide. Par extension, lorsqu’un objet solide est en mouvement par rapport à un fluide, on peut associer à cet objet un nombre de Mach en considérant la vitesse relative de l’écoulement autour de l’objet. On dit ainsi d’un avion qu’il vole à Mach 1 si sa vitesse est égale à celle du son, à Mach 2 si sa vitesse correspond à deux fois la vitesse du son, et ainsi de suite. Il est nommé en l’honneur du physicien et philosophe autrichien Ernst Mach. a vitesse de propagation ou célérité du son, notée a, représente la vitesse de propagation de tout ébranlement produit dans le milieu. Dans l’air aux températures habituelles, elle vaut environ 340 m.s-1 ou 1 224 km.h-1. Cette vitesse varie cependant en fonction de l’altitude et de la température.

> Il en est de même pour la vitesse de la lumière, ou MACH lumière = la vitesse de la lumière

 

Hypothèse 2.

En fait, en dépassant la VL, il s’agit simplement d’une perception visuelle différée !

Et il n’y aurai donc pas de limite à la vitesse et on pourrait (encore faut-il en développer la technologie) dépasser la vitesse de la lumière.

 

Comme un brin de relativité dans le paradoxe de la vitesse de la lumière revisité en toute logique

 

La vitesse de la lumière peut-être définie comme rien d’autre qu’une vitesse maximale qui permette de définir la distance maximale de la vue que nous avons sur ce ce qui nous entoure. Un aveugle se fout éperduement de la vitesse de la lumière. Il ne voit rien. Pour lui, seul le temps compte, à n’importe qu’elle vitesse.

Paradoxe :

Situons sur terre 1 aveugle, 1 pilote d’astronef, et 1 mathématicien. Le pilote de l’astronef doit se rendre en un point x de l’univers situé à 1 année lumière de la terre et revenir. (1E13 km)

Le pilote a le choix entre 3 engins spatiaux.

Le premier va 10 fois moins vite que de la vitesse de la lumière soit à 2970 km/seconde. L’astronaute mettra donc 100 ans pour y parvenir et 100 ans pour revenir. On peut le la ou il se trouve, tant qu’il ne va pas plus vite que la lumière et qui reste dans le champ visible. Hormis par calcul, on ne saura ou il se trouve lorsqu’il aura dépassé le champ de lumière.

Le second est proche de la vitesse la lumière … admettons 297’000 km/s. Il mettra donc 1 année pour arriver sur X et 1 année pour revenir de X. A l’aide de puissant téléscopes, On pourrait encore le distinguer là ou il se trouve réellement, car il ne va pas plus vite que la lumière qui nous parvient.

Le dernier va a 10 fois plus vite que la vitesse de la lumière lorsqu’il se trouve dans un champ de gravité 100 x inférieure à celui qui est sur la terre. Dès que l’astronef aura atteint la vitesse de la lumière, il disparaitra complètement du champ de vision du mathématicien. Et vu qu’il se déplacera à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière, personne ne pourra voir ou il va. Ni même le pilote qui se rend en 1 seconde 10 x plus loin que ce qu’il peut voir en 1 seconde. Ce qu’il voit est donc ce qu’il devrait avoir dans son champ de vison dans une proportion de 10 fois le temps que mettrait la lumière pour parvenir à son organe de vision. Et il voit simplement ce qui est s’est déja passé à 10 x la distance parcourie par la lumière, chaque seconde. Pour lui, ce sera la réalité de ce qui l’entoure. Le temps reste le même pour tous, seul un décalage de temps intervient sur le champ de vision que l’on a de l’horizon lointain.

C’est là que l’aveugle se plie en quatre de rire, car tous sont enfin comme lui et ne voient pas ce qui est réellement. Quoi qu’îl en soit, notre astronaute grimpe dans l’astronef No3 et s’envole, disparaissant du champ de vision du mathématicien! Il atteindra le lieu X en seulement 36.5 jours et est aisni capable de redescendra sur terre en 72 jours, Toutefois, il n’aura rien vu de la réalité de ce qui l’entoure réellement au temps qui lui est présent, à moins d’avoir diminué sa vitesse de croisière à celle de la lumière. Il ne pourra que découvrir peu à peu un nouvel horizon composé de ce qui est réellement, donc ce qui se trouve à un age plus avancé de 10 x de ce qu’il voyait sur terre. Par chance, … durant l’année écoulée, la planète X n’a pas explosé (il ne l’aurai donc pas su puisque la lumière n’est pas encore parvenue sur terre) et notre astronef a pu aterrir sur X 72 jours plus tard, et repart le lendemain.

Revenu sur terre 73 jours plus tard (il a donc profité d’un jour de repos sur X), …. Le mathématicien ne le verra arriver sur terre que lorsque sa vitesse soit inférieur la la vitesse de la lumière qui lui parvient. Tant que l’astronef se déplace à une vitesse supérieure, le mathématicien n’aura aucun loisir de le voir l’engin propulsé, du moins pas à l’heure reelle ou il aura passé.

Constat: il n’y a aucune contraction des longueurs ou des matières au dela la vitesse de la lumière.

Imaginer l’aveugle aux côtés de l’astronaute. Ce premier n’aurait percu aucune différence, et se sera juste déplacé à une VITESSE plus grande que la lumière et durant un temps donné. Pour lui, la lumière n’est rien, sa vitesse non plus. Qu’il soit sur terre, sur X, ou dans la navette, en fermant les yeux, pour lui, le temps passe comme pour l’astronef ! cqfd.

-_- De retour sur terre.

Comble de l’histoire, l’astronaute s’étant arrêté 1 jour sur X, il invite 1 an plus tard de son retour sur terre, le mathématicien et l’aveugle pour partager ce voyage. Le mathémacien souhaite que ce souper soit organisé à une date précise de 328 jours après son départ et tient à leur annoncer une grande surprise.

Dès lors assis à la nuit étoile, rivés sur leur téléscopes, se racontant des histoires de visions lointaines qui faisaient plaisir à l’aveugle, quel ne fut pas leur grand étonnement de constater aussi ce que le mathématicien avait espéré.

Sur leur télescope, en regardant la planète X, on pouvait observer l’arrivée du vaisseau, 1 an – 36 jours plus tôt, et notre cher astronaute pouvait se voir lui-même débarquer sur X, puis disparaitre comme un trou noir lorsqu’il est reparti…

Ce « mirage » visuel pourrait bien être des plus rééel en dépassant la vitesse de la lumière, et on l’explique facilement. La lumière ayant mis 1 an pour parvenir depuis X sur terre, on a un décalage de 1 année entre ce qui est sur X et l’image qui nous parvient de X, transportée par les photons de lumière qui se dépacent à 299987 km/s.

A chaque fois que l’on regarde X situé à une année lumière, on voit en fait X à une année (de lumière), donc on voit X telle qu’elle était une année plus tôt dans l’échelle de temps humaine.

Ne pouvant rien voir, l’aveugle lui, ne les a jamais cru, car cela fait presque 1 année que l’astronaute est bel est bien rentré. Et il leur répond que même si il avait été la haut, il ne se verrait même pas sur X et serait aussi rentré il y a une année avec l’astronaute.

___________

Quoi qu’il, si nous allons plus vite que la lumière, nous disparaitrerions du champ de vision de nous entoure. Nous entrerions dans une vitesse qui ne nous permette plus de voir ou nous allons, mais nous irions là ou nous ne pourrions « voir » ce qui nous attend.

Nous « verrions » par contre toujours ou nous arrivons, en reprenant une vitesse inférieure à celle de la lumière. Entre deux, c’est le trou ! ou tout ce que nous verrions n’est que ce qui était chaque seconde plus tôt à chaque nombre fois la distance parcourue en 1 seconde par la lumière (= nb de la vitese de la lumière).

Revenons à des dimensions plus terriennes pour se demander encore un fois si

.pour atteindre la vitesse de la lumière elle-même, l’énergie requise serait-elle infinie et maximale comme le disent Einstein, Michaelis, Langevin, et ainsi ne pourrait-elle dès lors être dépassée? Ainsi, un corps massif ne pourrait-il dès lors jamais strictement atteindre la vitesse limite ? Ce raisonnement certes ne s’applique cependant pas aux photons qui semble-t-il à l’avis d’une majorité de scientifiques, ont une masse donnée nulle et peuvent ainsi donc bien ainsi se déplacer à la vitesse de la lumière., … cqfd

 

Pour conclure,

Que nous puissions ou ne puissions pas dépasser la vitesse de la lumière de 299’987 km/seconde.

Il apparait plus probable que nous ne puissions pas le faire avec des « engins » car ni les électrons, ni les astres, atteigent de telles vitesses « photonique » (p.s Nous en somme à 26km/s dans un champ gravitationnel de 9.81)

On ne peut que constater que l’univers est plus que grand, et que notre galaxie est déjà très lointaine, impossible à atteindre pour une génération, à des vitesse inférieures à celle de la lumière.

– l’étoile de notre système solaire est à 8 secondes de lumière, que les 65 plus proches sont dans un rayon de 16 années lumières que notre galaxie se situe à plus de 1000 années-lumière, et que la suivante est à plus de 2 millions d’années lumière, et que l’ensemble des galxie forme une zone de plusieurs milliards d’années lumières.

On pourrait comparer la grandeur de la terre par rapport à l’univers comme une paire des 3 milliards de paires d’ADN contenues dans chacune des 3 milliards de cellules qui composent un être vivant de 1 m.Durant un millénaire – 1000ans – , la lumière à le temps de parcourir 9E15 m, nous approcherions enfin notre galaxie si nous allions à cette vitesse. 20 générations !!!

CERTITUDES mininales : Ce que nous voyons dans le ciel et qui se situe à moins de quelques milliers années lumières existait réellement il y a moins de quelques millénaires.

Grâce à quelques millénaires de recul de la société humaine et de la science, on peut certes se dire avec certitude que ce que nous voyons dans le ciel et qui se situe à moins de quelques milliers années lumières existait réellement il y a moins de quelques millénaires (le temps que la lumière nous parvienne). Les étoiles cartigraphiée il y a quelques millénaires, ne changeant pas de place, et une cartographie de l’espace ayant pu être établie, …on peut se dire que l’univers évolue lentement, à moins de collision ou d’absorption….

CERTITUDES : ce que nous voyons dans le ciel et qui se situe à des milliards d’années lumières (comme d’autres galaxies) existait assurément ainsi il y a plusieurs millards d’années (grosso-modo, une équivalence de l’age du début de la terre)

Selon les connaissances scientifiques actuelles, notre planète s’est justement formée il y a environ 4,5 milliards d’années et la vie y est apparue à sa surface en moins d’un milliard d’années.Si quelqu’un du fin fond de la galaxie nous regardait, il ne nous verrait que comme nous étions il y a 4.5 millards d’années, une boule de feu. Il devrait être à moins de 8 millions d’années lumière de distance pour espérer voir un brin de vie primaire, et à 20000 années lumière pour espérer voir des primates, et moins de 3000 AL pour voir un égyptien, et à entre 60-00 AL pour voir les premières explosions nuclaires qui ont eu lieu sur terre.

Aussi, si la vitesse de la lumière est une limite à la vitesse de mouvement, nous ne pourrons JAMAIS répondre seuls à la question : y’a-t-il de la vie au delà de « x » années lumières de la terre, x correspondant à la période de l’information qui peut être transmisme de génération à génération – entre l’espèce humaine (4000 ans admettons).

Si elle n’est pas une limite, nous pouvons qu’espérer étendre cette distance au nombre de fois la vitesse de la lumière que nous pourrions atteindre. C’est déja ça, mais ce ne sera jamais suffisant pour espérer se rendre dans la seconde galaxie, à plus de 2’000’000 d’années lumière.

etc… voilà pourquoi Fermi et Drake ne se sont intéressés qu’à notre galaxie, probablement.

Pour l’horizon intergallactique, reste une question de poids

Nous ne pouvons affirmer que ce que nous voyons dans le ciel situé à plus de X années lumière (ou davantage, …) , existe comme son image qui nous parvient X années plus tards, EXISTE encore sous cette forme.

Ce n’est en fait que la vision que nous avons de ce comment se présentait l’astre que l’on voit, il y a des X milliers, millions ou milliards d’année pour d’autres.

Nul ne peut prétendre comment cet horizon a évolué depuis ces temps !

Hypothèse:

La terre est agée de plus de 4 millards d’année, la vie simple sur terre apparue à 3 milliards d’années, et la vie évoluée qui a donné lieu à ce que nous sommes aujourd’hui, témoigne de l’évolution possible de toute chose dans l’univers. Notre soleil n’était pas le même il y a des millairds d’années, … il ne sera pas le même dans 1 milliards d’années. D’ou la difficulté de situer dans le temps présent ce qui se passe dans l’horizon de l’univers. Nous le saurons une fois seulement que la lumière parvenue Revenons enfin à l’aveugle pour se dire que le son et le ressenti de ondes peuvent certes mieux que la lumière nous renseigner sur des distances aussi grandes voire davantage que la lumière parcoure.

Hypothèse:

Si la vie est apparue sur terre il y a 3 millards d’années et qu’elle s’y est développée

 

il y a de force chances que ce qui se trouvait dans des conditions similaire à la terre il y a 3 millards d’années et à des distances de 3 milliards d’années lumières de la terre, s’y soit également développé durant ce temps, dans un coin de l’univers, comme la terre…

Mais rien que pour se déplacer sur plus de 1 année lumière en cette année 2010, bien que des progrès gigantesques ont été accompli en 1 siècle, il est nécessaire d’aboutir à une intelligence technique nettement supérieure, sans quoi nous resterons seuls à penser qu’il nous est impossible de voir plus loin que ce que l’on peut voir, ni espérer connaitre davantage que ce que l’on sait déja, à moins que l’on vienne d’ailleurs nous en apprendre…

 

NOTE: La lumière est simplement présente partout, ou ne l’est pas car loin de tout ou situé dans un univers fermé sur lui même et isolant des rayons lumineux.

Elle provient uniquement des sources lumineuses. Ces sources de lumière ont plusieurs propriétés.

Il existe différents moyens de produire de la lumière. Cette production peut être associée ou non à une élévation de température :
combustion (flamme)
réaction nucléaire (Soleil, étoiles,…)
réaction chimique (insectes, poissons, mollusques)
phénomènes électriques (lampes à incandescence, laser, tubes lumineux)
phénomène de phosphorescence (restitution de l’énergie lumineuse d’une source primaire emmagasinée).

Conclusion: SANS matière, PAS de lumière. La vitesse de la lumière n’est donc pas une limite en soi, mais un résultat d’un processus issu de la matière ou d’une SOURCE materielle. Nous pouvons constater ce phénomène grâce à l’organe appelé OEIL.

Et voici un lien amical  vers Extra Solar Foundation,

pour aller plus loin dans le domaine de l’exobiologie.

Exobiologie

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Utilisez vous-même l'équation de Drake

Calculer le nombre possible de civilisations communicantes au sein de notre propre galaxie en utilisant l'équation de Drake Equation.

N* = le nombre d'étoiles dans la Voie Lactée :

fp = fraction de ces étoiles ayant des planètes autour d'elles :

ne = nombre de planètes situées à la bonne distance de leur étoile :

fl = fraction de ces planètes où évolue la vie :

fi = fraction de fl où évolue une vie intelligente :

fc = fraction de fi qui communique :

fL = "durée de vie" de ces civilisations communicantes (fraction des planètes permettant aux civilisations communicantes de survivre) :

Nc = le nombre possible de civilisations communicantes dans la galaxie =


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La version originale de cette page a été vue et approuvée par le Dr. Frank D. Drake, (SETI et Extrasolar Planetary Foundations).
Aucun chiffre n'a été changé dans le javascript ci-dessus, seuls les énoncés de l'équation ont été traduits par l'auteur du site afin de faciliter la compréhension des non anglophones.


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Rappel de la formule:

G = m . g

G est le poids exprimé en N
m est la masse exprimée en kg
g est la gravité (accélération de la pesanteur) exprimée en m.s-2

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