Fragiles équilibres
De la particularité des nombres et des mathématiques.
Chiffres et formules de base en vrac, nombres impossibles
Un peu de chimie des maths, sous un autre angle.
Le nombre d’Or, la reproduction, et les formules utiles
Géométrie de l’espace et géométrie molle
Les chiffres, c’est toujours pour aller à l’essentiel.
Les grandes personnes aiment les chiffres. Quand vous leur parlez d’un nouvel ami, elles ne vous questionnent jamais sur l’essentiel. Elles ne vous disent jamais : « Quel est le son de sa voix ? Quels sont les jeux qu’il préfère ? Est-ce qu’il collectionne les papillons ? » Elles vous demandent : « Quel âge a-t-il ? Combien a-t-il de frères ? Combien pèse-t-il ? Combien gagne son père ? » Alors seulement elles croient le connaître.
Saint Exupéry
Intro
Les mathématiques constituent un domaine de connaissances abstraites construites à l’aide de raisonnements logiques sur des concepts tels que les nombres, les formes, les transformations, les structures. Mais voici bien une science purement intellectuelle, basée sur des postulats admis ou à vérifier, et des axiomes (du grec ancien αξιωμα/axioma, « considéré comme digne, convenable, évident en soi »).
Plutôt que de me plonger dans l’infinité de solutions mathématiques, quelles soient historique, algébriques, géométriques, probabilistes (fractales) ou analystes, je ne puis certes éviter de parler de science sans avoir besoin de me rappeler de quelques formules de base, quelques indispensables des mathématiques
Plutôt que répéter veinement ce que d’autres ont magnifiquement synthétisé et offert aux yeux du monde (voir les sites en liens ci-dessous), je vous propose une démarche mathémativement et volontairement synthétique, personnelle, issue de ce qui m’a marqué. Et pour les passionnés, je vous renvoie à la découverte de sites personnels des plus intéressants, des plus passionnants, des plus apprenants, dans ce domaine passionnant que sont les mathématique et la logique des nombre.
Culture, élevage, commerce, sciences (mathématique, toute physique, chimie, biologie, électromagnétisme, informatique, santé) commerce, expression artistique…, les maths et les postulats fondamentaux de cette science intellectuelle maître s’applique donc dans la réalité à tous les niveau et se perpetuera dans le temps en tant que connaissance humaine universelle transmise de génération en génération. Et si l’homme savait peut-être calculer avant même de savoir écrire, si les civilisations babyloniennes, égyptiennes, chinoises, akkadiennes ont développé la base des racines carrées, cubiques, et d’équations complexes, la présente époque présente toujours un fort développement de postulats toujours de plus en plus complexe, au service de la science, dopé et soutenu par le sacré développement de l’informatique et des communications.
LIENS indispensables du web
encyclopédie des constantes mathématiquesMathworld (en englais) |
CHRONOMAT – de Serge Mehl |
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NOMBRES – Curiosités, théorie et usagesLe site de GERARD PIERRE VILLEMIN – une sacrée approche formelle des nombres |
ENCYCLOPÉDIE DES FORMES REMARQUABLES
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Skytopia.comle site de DANIEL WHITE |
PAUL NYLANDER’s Math ArtworkPhysic Artwork superbe |
Mathématiques ludiques et magie des nombresLes pages de Thérèse EVEILLEAULES MATHEMATIQUES SONT LA POESIE DES SCIENCES |
Tout sur le Pi, l’univers de Pipar un amoureux du Piet ZOO of NUMBERS, pour tout savoir |
Ma sélection en nombrologie …
Plutôt donc que de répeter ce que d’autres ont fait bien mieux de moi, je vais simplement tenter de présenter ci-après, quelques extraits et exemples simples de ce que je suppose se trouver parmi l’indispensable dans le secteur des nombres et des formules … cqfd.
Les nombres, classement.
DENOMINATION |
PROPRIETE |
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entiers naturels |
N = { 0, 1, 2, 3 … }dits PREMIERS : qui ne se divisent que par 1 et par eux mêmes, dont qui n’admet que 2 diviseurs. |
les 10 premiers nombres premiers sont 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23 et 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89 et 97. |
Nombres entiers relatifs |
{N = -3, -2, -1, 0, 1, 2, 3 … } |
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NombresDÉCIMAUX |
nombres à virgule. Tous les entiers sont aussi considérés comme des nombres avec une virgule, mais suivie de 0. |
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Nombres rationnelsou fractionnaires |
Les chiffres derrière la virgule ne s’arrêtent jamais. Ils peuvent être représentés par une fraction |
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NOMBRES IRRATIONNELS |
ce sont des nombres qui ne peuvent pas être exprimés par une fraction. Nombres à virgule, dont les décimales sont imprédictibles. |
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NombresALGÉBRIQUES |
= Les nombres algébriques sont un sous-ensemble des nombres réels, excluant les nombres= Nombres RATIONNELS + nombres IRRATIONNELS ALGÉBRIQUES= Tous les nombres, racines d’une ÉQUATION non nulle à coefficients rationnels. |
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NOMBRES TRANSCENDANTS |
Les nombres transcendants sont des nombres irrationnels qui ne sont pas algébriques
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Pi, e
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La classe des nombres RÉELS |
comprend tous les nombres réels = algébriques + transcendants. |
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NombresIMAGINAIRES |
Les nombres imaginaires résultent d’une façon d’imaginer ce que pourrait être la racine carrée d’un nombre négatif. Il est souvent commode d’effectuer des calculs avec ces nombre inventés et de ne conserver que les résultats réels en fin de calcul. |
c = a + ibLe nombre imaginaire (i) est la solution de l’équation x² + 1 = 0. |
Nombres COMPLEXES |
Nombre complexe = couple formé par un nombre réel et un nombre imaginaire.Un bon moyen de se les représenter: ce sont les coordonnées a et b d’un point dans un plan sur des axes x et y. Par définition, a est la partie réelle et b est la partie imaginaire du nombre complexe.Exemples: 1 + i, 1 + 2i, -1,12 + 34,5, … |
c = a + ibUtilisés en électricité (i est alors noté j), en physique nucléaire, en aérodynamique, etc. |
Nombres HYPERCOMPLEXES |
Les quaternions sont formés d’une quantité (un scalaire) et d’un vecteur (un point dans l’espace) soit 4 composantes au total |
Quaternions: q = a + ib + jc + kd
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Des coordonnées
x, y z, représent les coordonnées d’un objet dans dans l’espace
La règle du pouce est utile pour définir un point x, y, et z
Elle permet de retrouver l’Ouest en pointant le Nord, et de retrouver le sens des courant électriques et magnétiques.
Additions, divisions et multiplications
Algèbre basique
LES SYSTEME SIMPLESIMPLES SIMPLIFICATIONSNous calculons généralement en base 10, avec ou sans décimales (virgules)additionsoustractionmultiplicationdivisions |
a+b= Sommea-b=Sommea*b=Produita/b=ProduitLes nombres, comme les humains, possèdent une empreinte digitale unique
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Propriété intéressante sur les chiffresSi la somme des chiffres est divisible par 3 ou 9, le nombre est lui-même divisible par 3 ou 9L’ensemble N désigne l’ensemble des nombres entiersQ
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Pour noter les grands chiffres, il est souvent pratique de dire combien de chiffres il possède,
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(parfois remplacé par E) Qui se lit 10 puissance q
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Exemples:10 = 1E1 * 2E1 * 5E1AE2+BE2=CE2 (Pythagore)3E3+4E3+5E3=6E3100 = 1 * 2E2 * 5E2
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Système binaireoui/nonou base 2dualité pair / impair0 « le courant ne passe pas »1 « le courant passe » |
C’est un concept essentiel de l’informatique. En effet, les processeurs des ordinateurs sont composés de millions de transistors (imprimés sur un circuit électronique) qui chacun ne gère que des bits 0 (« le courant ne passe pas ») et 1 (« le courant passe »). Le système binaire semble le plus adapté lorsque l’on parle de VEHICULER INFORMATIONLe système de numération à base 2 o est un moyen de représenter les nombres avec 2 symboles (0,1; +/-, P/N)
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ou hexadécimalLorsque la base est supérieure à 10,
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Le système hexadécimal est un système de numération en base 16, également très prisé des système de communications car il offre une conversion facile avec le systpme binaire par la relation:log2(16) = 4 * log2(2)2 * log2(16) = 8 * log2(2)Cette égalité revient à dire que : « À un chiffre dans la base 16, correspondent exactement quatre chiffres dans la base 2. » |
Quelques équations, rappel des bases
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pour en savoir plus:GEOGEBRAPratiques graphiquespage de lien |
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1ER DEGRÉ
ax + b = 0 |
Solution simple |
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QUADRATIQUE
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Connue depuis le second millénaire av. JC. La représentation graphique de ce trinôme (cas de coefficients réels) est une parabole
sommet de la parabole( -b/2a , -(b² -4ac)/4a ) |
Exemple: un vigneron dépense 140 francs pour 1 franc d’engrais par mètre et 1 franc par mètre de cloture, quelle est la surface du terraina (x + b/2a)² – (b² – 4ac) / 4a =∆ = b² – 4ac___________________________________
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CUBIQUE
ax3+bx²+cy +z=0 |
Résolu depuis le XVIè siècle |
mais compliquée, on s’en passera ici |
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QUARTIQUE
ax4 + bx3 +… |
Résolu depuis le XVIè siècle |
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QUINTIQUE
ax5 + bx4 + … |
En 1824, Niels Hendrick Abel (20 ans), puis Évariste Galois, en 1831 (20 ans), prouvent séparément qu’aucune formule n’existe. |
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Euqations à deux inconnuesax + by + c = 0x²+bx+c=0 |
Si le le PGCD de a et b divise le nombre c, l’équation possède une infinité de solutions |
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Des coordonnées aux volumes en passant par Pythagore.
Le triangle de Pythagore 3, 4, 5
Formule de base des côtés : a²+ b²= c² = (9+16=25)
mais encore sin â/a = sin b^/b = sin c^/c
Un triangle presque parfait = 2 triangles de Pythagore
a, b, c ont des valeurs respectives de 5, 5, 6 (2×3) pour 4 au centre.
Avec 3 triangles, dans l’espace on réalise le plus simple des tétraèdes
Selon ou l’observateur se trouve, il nous apparait différent dans l’espace.
Le triangle équilatéral a lui à 3 côtés identique
Avec 3 triangles on réalise un tétraèdre 4 faces triangulaires, 4 sommets, 6 arêtes. Comme il n’y a que la sphère qui nous apparait identique sous tous ses angles, le tétraèdres peut, selon la position de l’observateur, également apparaitre différemment à l’observateur.
Le rapport entre la hauteur et le côté d’un triangle équilatéral
est égal à
3/2, soit environ 0,866
L’hexahedron ou cube parfait, 6 faces, 8 sommets, 12 arêtes.
et hop, voici encore
Pythagore au cube: Le saviez-vous ?
Des trois cubes, de côtés 3A, 4C, 5B qui forment le volume du quatrième (6x)
Formule : 3x au cube+ 4x au cube+ 5x au cube = 6x au cube
(x = nombre entier sans virgule, ici = 1)
=
Si selon pythagore on a comme règle 3²+4²+=5² = AB²+BC²=AC²
on peut aussi donner le CUBE selon Pythagore avec une formule telle que x3³+x4³+x5³=x6³
(x étant multiple de +/. 1) ou autrement formulé AB³+AC³+BC³=DD³ d’ou n*((AB+AC+BC)/2))³=n*6³
et parlons cube, voici « une des » solutions (en dossier pdf), réécrite en 1972 par ma pomme, sur quelques feuillets et c’a fonctionne a dit mon fils …
Voila, on revient dans les maths … en se rappelant la base des grandeurs?
x |
x² carréAire |
x3˙cubeCube, volume |
xE10logarithmique |
xEx |
|
|
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1 |
1 |
1 |
1 |
1 |
|
|
2 |
4 |
8 |
10 |
4 |
|
|
3 |
9 |
27 |
100 |
27 |
|
|
4 |
16 |
64 |
1000 |
256 |
|
|
5 |
25 |
125 |
1E5 |
3125 |
|
|
6 |
36 |
216 |
1E6 |
46656 |
|
|
7 |
49 |
343 |
1E7 |
823543 |
|
|
8 |
64 |
512 |
1E8 |
2097152 |
|
|
9 |
81 |
729 |
1E9 |
32046721 |
|
|
10 |
100 |
1000 |
1E10 |
1000000000 |
|
De la multiplicité des formes expliquées par le langage binaire des aimants
Cas A: Aimants permanents ou lorsque le
(-) (-1) attire le (+)
(+1) et repousse son ego (-)
Cas B: la propriété des aimants est d’exercer une force attractive sur tout matériau ferromagnétique (qui a l’étrange pouvoir d’attirer le fer)
On ajoute donc à cette première donnée une une boule de fer (de charge magnétique initiale 0, mais qui est capable de recevoir ou de véhiculer des charges magnétiques positives ou négatives en son sein.
p.s. et j’ajouterait avant saturation (car en pratique le 8ème aimant d’un même pole et d’une première couche placé autour de la boule ,,et , tout gicle …! tiens tiens, encore une couche complètement saturée…)
Longtemps après la découverte de la MAGNÉTITE, les AIMANTS demeurèrent un objet de curiosité. Un JOUR quelqu’un s’aperçut qu’en frottant de la magnétite sur un barreau de fer, le morceau de fer s’aimantait à son tour. De même, si l’on frotte un barreau de fer non aimanté à l’aide d’un aimant, le barreau de fer s’aimante et conserve cette aimantation. Le savant français Pierre Weiss établit vers 1900 que le fer et certains métaux sont composés de « domaines » minuscules, rassemblant un certain nombre d’ATOMES. Normalement ces domaines sont disposés en désordre à l’intérieur du métal. Le passage d’un aimant sur un barreau de fer non aimanté aligne tous ces «domaines» dans le même sens et provoque l’aimantation du métal. De nos jours, grâce à l’ÉLECTRICITÉ, on fabrique facilement des aimants. On les obtient en entourant un barreau de fer d’un fil CONDUCTEUR, dans lequel on fait passer un fort courant électrique. Lorsque, après un certain temps, le courant est coupé, l’aimantation permanente du barreau est chose faite.
Bref, tout cela pour présenter enfin cette nouvelle entité à travers laquelle peuvent s’accumuler sans que l’on y voie rien, des forces -1 et des +1 provenant de l’entité + ou – de l’aimant d’un couple binaire magnétique 0 ou 1, N/S, … !
p.s. Pour faciliter la logique de l’aimant, gageons pour l’histoire que 1 et -1 s’annulent toujours lorsqu’ils se rencontrent donc s’attirent… le fer restera donc à 0… Par contre, dès que -1 et -1 sont accolés au fer, il véhiculeront donc la force additionnée des 2 aimants, soit -2 dans la boule de fer qui ne comprend aucune charge positive.
Voici donc représentées dans l’espace les différentes formes que l’on peut recueillir de façon très primaire, avec, 1, 2, 3, …8 aimants, et quelques boules de fer
Une façon plus complexe d’aborder la chose reste uen vision des fractales et du fameux mandelbulb, lequel se résume par une fonction qui se répete à l’infini, telle que les suites.
(voir indispensable)
Bref, tout cela peut aisément aider à expliquer la richesse des formes, des matières et des couleurs de l’univers; comment les particules élementaires, l’eau, les atomes, les molécules, les fluides, intérragissent entre eux. Ces présentations mathématico-géométriques, algébriques, logiques, peuvent également aider à mieux comprendre les bases rudimentaires de la ciculation de l’information entre les matières de l’univers, voire les système de reproduction des systèmes vivants.
_
La force de l’univers n’est rien d’autre qu’une recherche permanent d’équilibre entre les particules qui le composent. Si quelqu’un ne croit pas en cette « force », que certains nomment Dieu, et qui englobe l’ensemble, qu’il commence par déssiner ce que contient l’univers. Et il verra de lui même que toute information et toute vie qui se dessine en un endroit quelconque de l’univers se situe trouve en fait bien en son sein, le Saint sain ceint au travers la masse d’informations universelles.
Sinon, pourquoi l’homme s’inspirerait-il encore des inscectes et des fleurs, … alors, merci soleil, merci la lune, merci la pluie, merci la Force de Dieu tout puissant, l’univers.
Revenons au aimants:
– Tiens, tiens la relation est forte avec les orbitales dites électroniques
Note: une orbitale indique simplement la probabilité de présence (dans un volume 3D) d’un électron qui orbite ou tournoie avec une infinime précision autour du noyau d’un atome isolé.
L’orbitale dépend de la fonction d’onde de l’électron (et plus précisément de son module au carré). Elles sont suffisantes pour caractériser tous les électrons à l’état fondamental de tous les éléments de la classification périodique.
Pour comprendre et simplifier la chose,
– les atomes peuvent comprendre jusqu’à 7 niveaux atomiques ou électroniques acceptant au maximum 8 électrons par niveau (tiens, un cube stable de = 2*2*2)- Les atomes qui comprennent 4 (carré, croix) sont dits neutres et n’offrent ni n’acceptent facilement d’autres électrons (le Carbone, le Silicium)
REGLE: Les électrons se placent en priorité sur la couche la plus proche du noyau jusqu’à ce qu’elle soit saturée (nombre d’électrons maximum atteint = 8 par couche). Les électrons restants se placent sur la couche suivante jusqu’à ce qu’elle soit aussi saturée et ainsi de suite, tant qu’il reste des électrons. Il y a des exeptions pour les hautes couches.
Les atomes ayant 1 – 3 électrons sont des donneurs d’électrons (métaux et alcalino-terreux) et cherchent des accepteurs avec lesquels ils se lient
Les atomes ayant 5 – 7 électrons (halogènes, certains metalloides et non métaux) sont des accepteurs d’électrons et cherchent des donneurs avec lesquels ils se lient
TRES STABLE
Il ne peut y avoir dans un même atome, deux électrons comprenant 2 sens identiques, 4 directions similaires, … sans quoi la matière serai dispersée ou figée. Les électrons tournent donc ainsi toujours ainsi dans un sens opposé l’un à l’autre, et sont par ce postlat, chargé d’un sens + et d’un sens -, qui s’annulent par pair pour construire autrechose. Sans cette particularité, rien n’existerait sur terre. Cqfd, selon le théromème de Pauli
on comprend mieux ainsi la célèbre table Méndeleiev (VOIR CHAPITRE PARTICULES POUR UN DEVELOPPEMENT) et les interractions entre les matières pour aboutir à autant de diversité.
voir les images en grand en bas de page
Pi π ≈
11 33 55 > 113/355 > inverser > 355/113 > 3,141592
3,141592653589793238462643383279502884197169399375105820974944592307816406286208998628034825342117068
3,14
3,1416
22/7
355/1132
Le nombre pi, noté par la lettre grecque du même nom π (toujours en minuscule), est le rapport constant1 entre la circonférence d’un cercle et son diamètre. Il est appelé aussi constante d’Archimède.
LA fameuse CONSTANTE « e »
Nombre exponentiel ou nombre de Nepere =
= 1/1+1/2+1/3+1/4+1/5+1/6+1/n…
=1/1+1/(1*2)+1/(1*2*3)+1/(1*2*3*4)+
2,7182818284 5904523536 0287471352 6624977572 47093699959574966967 6277240766 3035354759 4571382178 5251664274 … =
Notez que 2,7 est suivi de deux fois 1828.
e = [2 ; 1, 2, 1, 1, 4, 1, 1, 6, 1, 1, 8…] =
(π 4 + π 5)1/6 = 2,718 281 809
11/4 = 1/1 + 1/2 + … + 1/8 =
19/7 = 299/110 = 878/323, …
De la suite de Fibonnaci,
équation de x2=x+1 mais encore x2-x-1=0 dont la solution est x+- = 1,618034 …
Note: évolution d’un carré primaire
Il faut quatres carré pour faire un carré plus grand |
4*1²=2²=4, 4*2²=4²=16, 4*3²=6²=36, 4*4²=8²=64, 4*5²=10²=100, etc. |
1 4 16 36 64 100 196 264 324 400 |
---|---|---|
Il faut 4 cube pour en faire un plus grand |
|
1 8 27 64 125 216 343 512 729 1000 |
Suite de fibonaci |
composée d’une suite de l’addition des deux précédents chiffres |
1 1 2 3 5 8 13 21 34 55 89 144 233, … |
|
Au carré |
1 1 4 9 25 64 169 441 1156 3025 7921 20736, … |
|
Au cube |
1 1 8 27 64 125 512 2197 9261 39304 166375 704969 2985984 |
1² +1² +2²+ 3²+ 5²+ 8² + 13² = 21²
1 1 2 3 5 8 13 21 34 55 89 144 233 377 610 987 1597 2584 4181 6765 10946 17711 28657 46368 75025
1 C → 1
2 CC,L → 2
3 CCC, CL, LC → 3
4 CCCC, CCL, CLC, ,LCC, LL → 5
5 CCCCC, CCCL, CCLC, CLCC, LCCC, CLL, LCL, LLC → 8
etc…. voici encore un calculateur (qui requiert Javascript (préférences des navigateurs))
Attention à ne pas donner des séries trop élevées pour ne pas saturer votre processeur, lol
La suite de FIBONNACI
F(n+2) = F(n+1) + F(n)
avec F(1) = F(2) = 1
LUCAS
L(n+2) = L(n+1) + L(n)
avec L(1) = 1 and L(2) = 3
Conversions TRAVAIL - ENERGIE (utile pour ne pas trop travailler ou gagner des sous)
3. Conversion degrés/radians ou radians/degrés
4. Calculations autout d'un cercle
5. convertisseur des équivalences d'accélération
6. Calculations chimiques
Entrer les valeurs directement ou à l’aide d’un copier/coller. Ensuite presse ENTER
Les espaces ne sont pas considérés, par exemple 54 + 3*2 is equal 54+3*2Les angles sont interprétés en radians (defaut) ou degrés (Deg or Rad mode).
maximum 15 décimales et E-31. Points et virgules sont similaires.
1e-5 = 0.00001; 1e+3 ou 1e3 = 1000.
Tous types de parenthèses sont correctes, exemple 25.3/(K3[Fe(CN)6]).
Respecter les majuscules et minuscules chimiques.
Les molécules d’hydratsion portent un signe positiv (exemple: CuSO4+5*H2O).
3*CO2 = 3*(CO2)
Physical constantes physiques.
Cliquer sur la constante souhaitée pour l’insérer dans le calcul
Exemples:
2+5-3.25 = 10.25
8+7+(42-16)*3 = 90
8+7+[(42-16)-7]*3 = 72
5*-7 = -35
7e-6/3e-9 = 2333.3333333333
H2SO4 = H*2+S+O*4 = 1.00794*2+32.066+15.9994*4 = 98.079tableau fou des reproductions – divisions
Imaginons une table de reproduction.
Imaginons 50 couples (X) ou 100 individus Y qui
2 Y => 1 X vivent et meurent.
Durant leur vie, X peut transmettre la vie à Y nouveaux êtres à naître
Pour que l’espèce soit stable (sans croissance, ni abaissement de taux),
il faut répondre à la relation 2X-Y = 0 d’ou Y = 2Y,
donc qu’il y ait un minimum de 2 progénitures par couple
Admettons que nos couples puissent faire y = 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ou 8 descendants Que se passerait-il ?
Si tous produisent n descendants
0
1
2
3
4
5
6
7
8
10
100
1000
il y aurait
0
50
100
150
200
250
300
350
400
500
5000
1 million
d’ individus nés
mort de l’espèce
décr.
stable
croissance 50 %
croissance 100%
…
système des abeilles, fournis, reines
système tortue, virus
Si l’on veut respecter une part égale de chaque groupe… tel que
x+1x+2x+3x+…(n) x =100 > x = 100/n
Pour respecter une stabilité, il faut un minimum de
nb de couples X équivalent pour que la condition Y = 2X soit remplie
77.777 ne produisent aucune descend.
2.777
2.777
2.777
2.777
2.777
2.777
2.777
2.7777778
22.233% de couple géniteurs
25
75.86
3.448
3.448
3.448
3.448
3.448
3.448
3.448
24.14
27.58
76.2
4.762
4.762
4.762
4.762
4.762
4.762
23.8
28.57
66.667
6.666
6.666
6.666
6.666
6.666
33.333
40
60
10
10
10
10
40
50
50
16.6666
16.6666
16.6666
50
66.6
0
0
100
Nb de Y réalisépar couple
0
1
2
3
4
5
6
7
8
10
Nb couple total
Y individus
Situation
En cas de partité entre les groupes il y aurait (y) Y progénitures
11.1111
(0)
11.1111
11.11
11.1111
22.222
11.1111
33.333
11.1111
44.444
11.1111
55.5555
11.1111
66.666
11.1111
77.777
11.1111
88.888
100
488.888 individus nés
Accroissement 488 %
12.5
12.5
12.5
12.5
12.5
12.5
12.5
12.5
0
100
350
Accr.
14.2857143
14.286
14.286
14.286
14.286
14.286
14.286
0
0
100
300
Acrr.
16.666
16.666
16.666
16.666
16.666
16.666
0
0
0
100
250
Acrr.
20
20
20
20
20
0
0
0
0
100
200
stable
PROBALILITE du double
256
5
128
50
64
25
32
12.5
16
6.75
8
3.875
4
1.9375
2
0.96875
1
0.484375
511
100
206
croissance de 3 % pour seulement 5 de couples ne produisent pas (peu logique)
selon fibonnaci différentielle
15
34
21
13
8
5
2
1
1
(100)
199
système presque STABLE et assez logique …ou lorsque 1 chiffre qui se modifiée en modifie d’autres pour un équilibre parfait
selon fibonnaci inversée
13
34
21
13
8
5
3
2
1
100 (87)
212
croissante de 12 %
essai partage perception du temps
mort
pleinitude
ordre
dévelop.
accrois.
germin.
assemb. aire
duplic.
naiss.
fibonnaci
55
34
21
13
8
5
3
2
1
+100
140(141)
entière ramenée à 100, chiffres curieux
39.2857143
24.2857143
15
9.2857143
5.7142857
3.5714286
2.14285714
1.4285714
0.7142858
100
146.8 décroissante
Autres possibilités stables – mathématique équilibrées
0
33.33
33.33
33.33
0
0
0
0
0
100
200
stable
0
25
50
25
0
0
0
0
0
100
200
stable
0
0
100
100
200
stable
33
0
0
66
100
200
stable
50
0
0
0
50
100
200
stable
60
0
0
0
0
40
100
200
stable
66.6
0
0
0
0
0
33.3
100
200
stable
72,4285714
0
0
0
0
0
0
28.57
100
200
stable
75
0
0
0
0
0
0
0
25
100
200
stable
62.5
25
12.5
100
200
stable
Du coup, la plus logique des suite d’une vie de reproduction logique semble encore être une suite ressemblant à celle fibonnaci, d’ou, encore une fois expliqué. la simple complexité des choses, comme la multiplicité des systèmes de formes et de matières.
Les matière non vivantes, sans mouvement, sont tributaires de matières vivantes ou non vivantes de l’extérieur de leur forme pour une éventuelle croissance, … si lente qu’elle reste non dictée par un système de processus de nécessité de faire survivre l’espèce.
Lorsque le conglomérat englobe une mixture telle qu’eau, ADN, ARN, proteines, enzymes, catalyseurs, C,H, O, N, oligo-éléments, matière organique ou minérale, il est alors capable de transporter la vie. Encore faut-il lui fournir l’information relative au développement de son espèce ! ce qui n’est pas chose simple.
La vie se transmet et c’est comme si la graine devient grande, donc apte à recevoir et transmettre la Vie, à une petite graine qu’elle produit elle-même….
C’est la matière vivante se perpetue, donc qui nait, évolue, vit un temps donné, procrée, et rejoint enfin le stock de matière « non vivantes » serviant de « réserves » de matière à d’autres processus en interraction.
Tout cela pour dire que les matière vivantes se reproduisent donc plutôt à l’avantage de ce système tabulaire.
La bactérie (entre vivant et non-vivant), située entre objet et matière vivante, la cellule (vivante), le virus (donné non-vivant ou objet, car dépendant d’un hôte), respectant les principe de division en 2, voir 4, ou 6. Certaines espèces, comme les tortues, éméttant des millions d’oeufs dont peu écloreront. D’autres ne généreront uniquement que 1, 2 ou 3 descendants. D’autres comme les humains, ont presque le choix du nombre lorsque le couple est formé – se rapprochent de l’évolution fibonnaci ou du lapin, décrite ci-dessus, dans la théorie des nombres. Peu d’espèces s’autorégulent par le choix des nombres (ce n’est pas un cerveau, comme le cerveau humain qui commande ce choix, qui est un résultat de l’ensemble, en recherche permanente d’équilibre, par contre le cerveau qui le percoit, l’évalue, et l’analyse ou le compare vis vis données passées accumulées, afin d’être utile au processus des horloges du processus dans son entier)
Un résultat de l’ensemble qui correspond à une recherche permanente d’équilibre
Ce sont les mathématiques du naturel. Ce sont les conditions données en un moment donnés qui intéfèrent sur ces valeurs d’une logique primaire implacable.
N’oublions pas que tout équilibre (= simple poursuite de la vie de l’espèce) de chaque espèce VIVANTE repose à la fois sur l’approvisionnement (comme elle participera également à la chaine de l’approvisionnement d’autres processus) de matières vivantes et non vivantes pour fonctionner, se reproduire et évoluer, tout en restant tributaire du bon fonctionnement à la fois de processus internes défini par une frontière et de processus extérieurs relatifs à son environnement.
Et le temps ?
De la notion du temps, dont nous percevons le temps qui jalonne tout VIE de tout individu ou couple de vie,
Répondrai -t-elle aussi à ce même principe de croissance selon les suite de fibonnaci ? Certainement que nous y retrouveons dans son évolution toute une logique de suites mathématiques certaines, .. cqfd
Pour la rigolade et essai, fibonnaci nous donne ici sans approfondissement de la question une moyenne de vie de 87, 89, 100, ou 140 … à choix …
et cette suite, ce pourrai aussi être la perception à l’envers de ce qu’il reste de temps au temps durant lequel nous bénéficions de l’énergie (!) de la vie qui se transmet de génération en générations et d’espèces à espèces.
D’ou la notion de tourbillon de la vie …
(pour en savoir plus sur la vie et sa définition, reprenez le chapitre sur l’indispensable
Le cercle trigonométrique
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