Préface
Mais qui aurait bien pensé qu’un jour je me mette à écrire un livre électronique?
– « Peut-être moi quand j’étais petit, et puis toujours que moi depuis que je suis un peu plus vieux, sinon ben personne ! »
– « Et après la parution de ces écrits, qui le lira? »
– Eh bien peut-être celui qui aura tout d’abord le courage de lire ces quelques pages écrites au vol, et qui inspiré, se mettra aussi à penser,à réfléchir, développer, ou écrire, la même chose, ou un peu plus et un peu mieux !
Une lapalissade égocentrique de l’évolution des choses qui nous entourent !
Les années se faisant, et me retrouvant presque encore plus jeune dans l’esprit au dépassement d’une cinquantaine sonnante, j’ai souhaite enfin débuter ces petites histoires, reprenant à gauche ou de droite des tronches de vie et des tranches de vie pleine de singularité, de sciences et de questions ou de tentatives de réponses sur ce qui nous entoure.
Je me rappelle encore les lectures de Randal Lemoine, un écrivain hors pair pour les grands, mais à lire aux petits, car les petits n’y comprennent rien, mais rigolent de bon coeur et avec leur propres images issues de la fabuleuse imagination de la cervelle humaine.
Avec le présent livre et son méli-mélo de styles, j’ai plutôt envie de faire lire aux petites gens des histoires de grands, parfois à la façon de Lemoine – le comique. Parfois à celle de Lovelock – le scientifique, de Reeves – l’astrophysicien de la nature, ou encore de Guy Sorman – le chroniqueur, mais aussi de l’écrivain Jean Paul Jody ou de Chambarion.
Mais voilà, il y a tant de domaines passionnants, tant de vérités que l’on nous cache, tant de sciences à comprendre, et tant d’histoires à synthétiser, que pour savoir par laquelle commencer, c’est encore plus difficile d’ accrocher les mots et les sens entre eux.
Par quel thème, par quelle science, au travers quelle opportunité, avec quelle romance, par quelle valeur politique, par quelles désillusions ou quels combats, mais encore avec quels plaisirs commencer un livre qui se veux traiter de tout et de rien, un livre pour vouloir tout dire, tout comprendre, tout savoir, et en fait ne rien savoir, ne plus rien croire, ne plus rien dire, victoire !
Mais je tenais avant tout aussi à rester sérieux, un brin scientifique, au sommet du réflexif intérieur, vous parlant un peu de mes expériences de vie tant elles sont nombreuses et riches. « J’ai dit riche dans la vie, non pas pas dans le porte-monnaie ! »
Je fais bien évidemment partie de la petite classe très moyenne, parti de rien, restant avec rien, ou des dettes, et une santé qui a eu ses défaillances défaillante pour cause de fibro et d’intoxication aux métaux lourds (vive les dentistes) mais empli de tout !
Cela ne change rien à ce que j’ai souhaité peut-être transmettre par ces écrits à savoir un brin de connaissances remaniées, revisités, présentées simplement!
Et vous l’aurez aussi assez vite compris, je vais aussi tenter de marier le bon vrai français aux nouvelles valeurs sentimentales des textos sms, car j’aime le verbe. Du moins je tente.
Devinette: Savez-vous écrire en bon français et puisqu’on est dans le sentimental : sept seins seins capuseins portaient en leur sein le sein des seins. Astuce: en bon français, il n’y a pas deux « seins » qui s’écrivent pareil!
Alors à vos méninges, et poursuivez votre lecture avec Deny’s The Nice on the road of the life une autre fois ? et retrouvez la réponse plus loin dans cet ouvrage…
Si vous m’en avez pas déjà assez lu pour aujourd’hui, eh bien, laissez vous emmener dans un pseudomonde scientificomythomaniaque pour ne pas dire schinophrénico-physico-chimico-naturel.
It’s theoretical intuitivement magical. Et comme dirait Brice, cassé ! dixit Deny The Nice.
Plus sérieusemenrt, cette publication tente ainsi également de ressembler à un puzzle de questionnement, un puzzle de la vie. La construire, la reconstruire, ne pas perdre de pièces, sont un casse-tête unique, pour lequel chaque pièce est un évènement en soi, souvent imbriqué dans un autre, de façon à former une entité, l’entité de la vie, l’entité d’une vie, un bout de cerveau.
Je n’ai aucune prétention de défendre la vérité, mais je tiens à témoigner de quelques réalités, vérités ou contre-vérités constatés ou supposés par beaucoup, qui à terme font mal à notre milieu de vie.
Evènements de l’histoire, inventions, science humaines, médicales ou militaires, bouleversements climatiques, histoire, tout est entaché de paradigmes, d’inconnus, d’anomalies, de vérités certainement plus cachées qu’on ne se l’imagine.
Nous vivons aujourd’hui un monde curieux, parfois dur, mais superbe en fait. Encore faut-il avoir à manger, un peu de chaleur et pour l’époque, certes de l’énergie électrique 50 Herz, puisqu’il n’y a qu’elle qui a été développée jusqu’à ce jour.
Pourquoi personne ne dit rien face à la pauvreté du monde, pourquoi chacun a-t-il peur de perdre son emploi, ses privilèges? Pourquoi certaines inventions n’ont-elles jamais abouti ? pourquoi plus personne ou presque n’a de jardin dans le monde dit évolué? La peur de perdre son privilège à t-elle une raison, une cause, une motivation?
Aussi, j’espère ainsi pouvoir vous emmener dans quelques réflexions scientifiquement souhaitées correctes et humaines. Et pourquoi pas tenter d’avancer de manière quantique dans la réflexion que l’amour qui berce l’univers, et la bonté de la terre, ou de la graine, sont bien plus fortes de toutes nos connaissances réunies.
Sans graine, pas de santé.
Sans graine, pas de pollen, pas d’abeille, pas de vie.
Sans bourgeon, pas de force. Sans fleurs, pas de fruits.
Si l’on ôtait du monde la cupidité, l’avarice, et la méchanceté humaine,
le paradis serait sans discuter sur terre, (…), dixit les abeilles.